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Rapport du groupe de travail sur l'inconduite sexuelle et la violence à charactère sexuel

Annexes

ANNEXE 1

Membres du groupe de travail sur l’inconduite sexuelle et la violence à caractère sexuel

  • Heather Adams-Robinette, directrice du Vice-rectorat à la recherche et aux études supérieures
  • Richard Bernier, membre du corps professoral et coordonnateur des affaires pédagogiques, Faculté des arts et des sciences
  • Theresa Bianco, professeure adjointe, Département de psychologie, Faculté des arts et des sciences
  • Fabienne Cyrius, chargée d’enseignement à temps partiel, École de gestion John-Molson
  • Madeleine Féquière, chef du crédit d’entreprise, Domtar (consultante externe)
  • Masoumeh Hashemi, M.A., études cinématographiques, Faculté des beaux-arts
  • Vahid Khorasani Ghassab, Ph. D., ingénierie de l’information et des systèmes, Faculté de génie et d’informatique
  • Étudiant du premier cycle, B.A., études anglaises, Faculté des arts et des sciences
  • Sharon Yonan Renold, B.A., journalisme, Faculté des arts et des sciences
  • Lisa Ostiguy, vice-rectrice exécutive déléguée aux affaires académiques (présidente)
  • Nadia Hardy, vice-rectrice exécutive adjointe aux relations avec le personnel enseignant (vice-présidente)
  • Melodie Sullivan, conseillère juridique principale (vice-présidente)

Personnel de soutien du groupe de travail sur l’inconduite sexuelle et la violence à caractère sexuel

  • Enza De Cubellis, directrice, Secrétariat général (coordonnatrice du groupe de travail)
  • James Roach, conseiller principal en communications, Services des communications de l’Université (conseiller en communications du groupe de travail)
  • Barbara Henchey, directrice du Décanat, École de gestion John-Molson (rédactrice du rapport du groupe de travail)

ANNEXE 3

Liste des personnes consultées et interrogées par le groupe de travail

ANNEXE 4

Liste des parties prenantes

  • Ressources autochtones
  • Cabinet des affaires académiques
  • Bureau du développement et des relations avec les diplômés
  • Associations de diplômés
  • Candidats (appel à devenir membre)
  • Services de mieux-être et de soutien de l’Université
  • Formation continue
  • Conseils départementaux
  • Conseils facultaires
  • Centre de lutte contre l’oppression des genres
  • Ressources indigènes
  • Bibliothèques
  • Bureau des droits et des obligations
  • Bureau de l’ombudsman
  • Groupe de direction du recteur
  • Centres et instituts de recherche
  • Résidence
  • Service de sécurité
  • Centre d’aide aux survivantes et survivants d’agression sexuelle
  • Équipes sportives
  • Associations étudiantes (y compris la CASE et la GSA)*
  • Directeurs des services aux étudiants
  • Syndicats et associations

*Y compris les associations d’étudiants et d’enseignants et les grandes associations départementales

ANNEXE 5

Vous trouverez ci-dessous les questions qui ont été posées aux fins de discussion dans le cadre des conversations communautaires.

Question 1
Afin de nous donner un contexte de discussion, décrivez ce que vous savez au sujet des politiques, des procédures et des services de soutien de l’Université en matière de violence à caractère sexuel et d’inconduite sexuelle. Qu’est-ce qui doit être changé ou amélioré?

Question 2
Selon vous, qu’est-ce qui fonctionne bien? À quel point les ressources sont-elles faciles à trouver et accessibles? Quelles autres priorités devraient être prises en compte?

Question 3
Quelles sont les limites professionnelles qui doivent être respectées en ce qui a trait aux relations sexuelles et romantiques?

Question 4

Si vous étiez responsable de l’élaboration du programme de formation portant sur l’inconduite sexuelle et la violence à caractère sexuel de Concordia, qu’est-ce que vous y incluriez pour créer un programme exceptionnel et faire en sorte que nous soyons tous fiers de notre environnement?

 

Six séances de conversation communautaire ont eu lieu :

Campus SGW – 147 inscriptions

  • 28 mars (étudiants du premier cycle)
  • 29 mars (membres du corps professoral)
  • 4 avril (étudiants des cycles supérieurs)
  • 5 avril (membres du personnel)

Campus Loyola – 42 inscriptions

  • 24 mai – Séance du matin (étudiants du premier cycle et des cycles supérieurs)
  • 24 mai – Séance de l’après-midi (membres du corps professoral et du personnel)

 

ANNEXE 7

Points saillants issus des données brutes du sondage (questions qualitatives)

Réponses aux questions qualitatives du sondage fournies par SOM.com (cabinet sondagier). SOM a créé des thèmes et des catégories en fonction des réponses à chacune des questions ouvertes.

Les réponses figurant ci-dessous (thèmes seulement) donnent un aperçu des résultats.

QA 2 – Que manque-t-il dans la définition de la violence à caractère sexuel de Concordia?

  • La coercition sexuelle (menaces, chantage, manipulation, etc.)
  • La distinction entre la violence physique et le harcèlement sexuel
  • La violence verbale et le harcèlement psychologique (intimidation)
  • Les commentaires de nature sexuelle (remarques inappropriées, suggestions, insinuations)
  • Les abus de pouvoir (user de son influence ou de son pouvoir pour obtenir quelque chose)
  • La violence fondée sur le sexe et la discrimination (sexisme)
  • Les attouchements non souhaités (invasion de l’espace personnel d’une personne)
  • Une définition plus précise, moins générale (elle est trop large)
  • Les rapports de pouvoir dans les relations (enseignant et étudiant, employeur et employé, etc.)
  • Une définition plus claire du harcèlement sexuel (donnez des exemples)

QE5R – Comment votre signalement de violence à caractère sexuel à Concordia a-t-il été traité?

  • Rien n’a été fait (aucune mesure n’a été prise)
  • Aucun suivi
  • Manque de soutien (l’Université n’a pas pris les choses en main)
  • Soutien adéquat (empathie, aide, compréhension, etc.)
  • Attitude négative de la part du personnel (moquerie, impolitesse, réaction inappropriée)
  • L’agresseur n’a fait face à aucune conséquence réelle
  • S’est fait dire que rien ne pouvait être fait
  • N’a pas reçu suffisamment d’information
  • Un suivi a été fait (des mesures ont été prises)
  • Le problème a été géré/résolu de façon satisfaisante
  • La confidentialité n’a pas été respectée

QF5$ – Que peut faire Concordia pour améliorer ses communications relatives aux enjeux entourant la violence à caractère sexuel?

  • Offrir plus de formation (formation approfondie et concrète, séminaires, conférences, événements de formation, etc.)
  • Faire connaître les ressources à la communauté (ce qu’on peut et ne peut pas faire)
  • Clarifier les politiques de Concordia et les mettre en œuvre (position ferme)
  • Prendre au sérieux chaque incident et le signalement de chaque victime, et agir en conséquence
  • Tenir des séances ou des ateliers de formation obligatoires sur le sujet
  • La campagne a pris une ampleur excessive (perte de temps et gaspillage de ressources)
  • Plus de transparence et d’honnêteté (cas précédents, agresseurs, etc.)
  • Faire en sorte que les agresseurs doivent répondre de leurs gestes (tolérance zéro)
  • Adopter une approche proactive concernant le problème (axée sur la prévention, et non seulement sur la réaction, etc.)
  • Congédier ou expulser les agresseurs

QF6R – Avez-vous d’autres remarques à formuler au sujet de l’inconduite sexuelle et de la violence à caractère sexuel à Concordia?

  • Informer les gens sur la problématique (conséquences, comportements, formation, etc.)
  • Prendre des mesures (rendre les gens responsables de leurs gestes, agir, en faire plus, etc.)
  • Prendre les victimes au sérieux (faire preuve de respect, être ouvert à recevoir des signalements, etc.)
  • La problématique va au-delà de la violence à caractère sexuel (culture, préjugés sociaux, etc.)
  • Améliorer les politiques de Concordia (les rendre plus claires et plus inclusives, code de conduite, etc.)
  • La réaction de Concordia face au problème est satisfaisante
  • Manque de mesures concrètes (plus de discours que d’actions)
  • Il doit y avoir plus de prévention (être proactif, agir au lieu de réagir, etc.)
  • Améliorer le processus (moins de bureaucratie, faciliter les signalements, assurer la confidentialité, etc.)
  • Tout le monde doit y prendre part (dialogue ouvert, discussion sur la problématique, écoute, etc.)

 

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