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Christiane Bailey en entrevue dans les médias pour protéger les animaux dans les rodéos

May 10, 2025
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Dans les médias cette semaine, Christiane Bailey, coordonnatrice du Centre de justice sociale de l’Université Concordia, est en entrevue au sujet de la poursuite contre le ministère de l’Agriculture (MAPAQ) pour son échec à protéger les êtres animaux au rodéo du Festival Western de Saint-Titre.

En tant que porte-parole de Droit Animalier Québec (DAQ), elle explique au Journal de Montréal que « la prise du veau consiste à attraper un veau à toute vitesse, l’étrangler et le projeter au sol » : « Depuis 2015 au Québec, la loi sur le bien-être et la sécurité de l’animal stipule qu’on ne peut pas faire souffrir les animaux pour le divertissement » : « certaines activités du rodéo violent la loi de façon répétée depuis plusieurs années ».

Dans son article du 5 mai, Le Nouvelliste rapporte les propos de Mme Bailey : « L’absence de blessures physiques chez les animaux, ça n’empêche pas qu’il existe des risques de lésions internes. La souffrance, ça ne se mesure pas seulement aux blessures visibles. La panique intense, la terreur que ces animaux-là ressentent, ce sont des formes de maltraitance. »

« Il faut tout simplement trouver des manières d’exercer ce type d’activité, pour la compétition et le divertissement, d’une manière qui respecte le bien-être et les impératifs biologiques des êtres animaux », explique-t-elle en entrevue.

Le 6 mai 2025, elle a donné une série d’entrevue à la radio et à la télévision, notamment au 98.5 avec Geneviève Patterson, à QUB Radio avec Benoit Dutrizac (Stop au lasso à St-Tite), au 95.7 KYK FM (Cruauté animale – L’avenir des rodéos encore en jeu) et à l’émission FIN PM de Radio-Canada: Christiane Bailey de La communauté Droit animalier Québec

En entrevue au Téléjournal Mauricie, Christiane Bailey explique que certaines épreuves infligent « un stress psychologique aigu (notamment de la détresse de la peur et de l'anxiété) et des risques de blessures sérieux (notamment des étranglements).»

« Pendant que le MAPAQ étudie le dossier, on a tous les rapports d'experts nécessaires pour affirmer qu'il faut au minimum un moratoire sur certaines épreuves », soutient-elle.

Le juge Patrick Ouellet doit rendre sa décision la semaine prochaine. 




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