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There’s No View from Nowhere: Embracing Positionality in Research


Photo of the participants in the Positionality roundtable Aya Halliday and Neslihan Sriram-Uzundal invited participants to reflect on their own research identities and to consider how embracing positionality can serve as both a methodological and a reflective practice.

On November 26, a roundtable discussion titled There’s No View from Nowhere: Embracing Positionality in Research, hosted by the CSLP, brought PhD and MA students for an in-depth conversation about the role of positionality in the research process. Led by Aya Halliday and Neslihan Sriram-Uzundal, the event examined different aspects, ranging from foundational questions on positionality to challenges and critiques, ethics and power dynamics, practical application, and future implications.

The facilitators guided the discussion with a series of probing questions, ranging from foundational prompts such as “What is your personal definition of a positionality statement?” to broader ethical considerations, including whether such statements can help address issues of privilege, bias, or oppression in research. They also invited participants to reflect on practice-oriented questions, such as “What personal strategies have you found effective for integrating your positionality into your research without overshadowing your findings?” and forward-looking questions, such as “How might the concept of positionality evolve in the future of research methodology?”

Joining the conversation were graduate student discussants Mariana Alarcón Rodriguez, Rita Andraous, Karen Andrews, Anna Patterson, and Robin Long, who contributed insights from their respective fields, encouraging a thought-provoking exchange.

Submitted by Neslihan Sriram-Uzundal

Il n’y a pas de point de vue neutre : adopter la positionalité en recherche

Le 26 novembre, une table ronde intitulée « Il n’y a pas de point de vue neutre : adopter la positionalité en recherche », organisée par le CEAP/CSLP, a réuni des étudiant·e·s à la maîtrise et au doctorat pour une discussion approfondie sur le rôle de la positionalité dans le processus de recherche. Animé par Aya Halliday et Neslihan Sriram-Uzundal, l’événement a abordé différents aspects, allant des questions fondamentales sur la positionalité aux enjeux et critiques, en passant par l’éthique, les dynamiques de pouvoir, les applications pratiques et les implications futures.

Les facilitatrices ont guidé la discussion à partir d’une série de questions stimulantes, allant de pistes de réflexion fondamentales — comme « Quelle est votre propre définition d’une déclaration de positionalité? » — à des considérations éthiques plus larges, notamment la manière dont ces déclarations peuvent contribuer à aborder les enjeux de privilège, de biais ou d’oppression en recherche. Elles ont également invité les participant·e·s à réfléchir à des questions axées sur la pratique — par exemple : « Quelles stratégies personnelles trouvez-vous efficaces pour intégrer votre positionalité dans votre recherche sans occulter vos résultats? » — ainsi qu’à des questions tournées vers l’avenir, comme : « Comment le concept de positionalité pourrait-il évoluer dans le futur des méthodologies de recherche? »

Halliday et Sriram-Uzundal ont encouragé les participant·e·s à réfléchir à leur propre identité de recherche et à envisager comment l’adoption de la positionalité peut constituer à la fois une démarche méthodologique et une pratique réflexive.

Se sont joint·e·s à la discussion les étudiant·e·s diplômé·e·s Mariana Alarcón Rodriguez, Rita Andraous, Karen Andrews, Anna Patterson et Robin Long, qui ont offert des perspectives issues de leurs domaines respectifs, enrichissant ainsi un échange particulièrement stimulant.

Soumis par Neslihan Sriram-Uzundal

 



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