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Transformer les microclimats bâtis et urbains : faire progresser la science de la résilience pour les populations vulnérables dans un Canada décarboné et électrifié

Postes de doctorat financés en biologie

Dernière mise à jour : 7 août 2025, 11h17

Superviseur·e et détails

Superviseure: Carly Ziter 
Départment: Biologie, Faculté des arts et des sciences  
Université: Université Concordia, Montréal, Canada 
Date de début: Automne 2026
Bourse de doctorat: 35 000 $ AD par année pendant 4 ans

Présentation du projet

Ce projet s’attaque à la montée des températures urbaines et aux risques climatiques. Il utilise des capteurs, l’intelligence artificielle et la modélisation climatique pour prédire les impacts sur la santé et améliorer la planification urbaine. L’objectif est de développer des améliorations écoénergétiques et des infrastructures vertes dans les zones les plus touchées par la chaleur extrême — notamment pour les aînés et les communautés autochtones. La recherche soutient des projets concrets comme les quartiers carboneutres et alimente des politiques climatiques équitables et fondées sur la science.

Description du rôle

  • Concevoir en collaboration un programme de recherche doctoral sur le rôle des arbres et de la végétation urbains dans l’atténuation des effets de la chaleur urbaine à travers les villes canadiennes, en mettant l’accent sur les populations vulnérables. 
  • Collecter et analyser des données sur la couverture végétale, la structure et la diversité, et intégrer ces résultats à des mesures microclimatiques à l’échelle urbaine (ex. : flux d’air, qualité de l’air, rayonnement solaire). 
  • Développer et contribuer à des bases de données sur les Solutions fondées sur la Nature (SfN) pour comprendre les relations entre verdissement urbain, forme urbaine et effets de refroidissement. 
  • Travailler au sein d’une équipe interdisciplinaire afin de relier les données écologiques aux indicateurs de vulnérabilité sociale et soutenir une recherche pertinente pour les politiques d’adaptation climatique urbaine. 
  • Participer à l’évaluation de scénarios de stratégies de verdissement urbain, contribuer à la planification paysagère et à la sensibilisation du public sur la résilience climatique. 

Les candidats sont encouragés à lire cette revue récente sur les arbres urbains et le rafraîchissement pour avoir un aperçu des approches possibles et des principales lacunes dans ce domaine.

Ce poste est idéal pour les étudiants intéressés par l’écologie urbaine, les solutions fondées sur la nature, les systèmes socio-écologiques-technologiques, l’analyse spatiale, la science du climat et la justice environnementale. Il offre d’importantes opportunités de contribuer aux politiques urbaines locales et à la planification paysagère. Le/la candidat·e idéal·e aura un intérêt pour les approches combinant écologie et environnement bâti/ingénierie, et pour le travail interdisciplinaire.

  • MSc dans un domaine pertinent (biologie, écologie, foresterie, géographie, sciences de l’environnement, ingénierie ou urbanisme), avec un intérêt pour l’écologie végétale, la biodiversité urbaine et les infrastructures vertes. 
  • Expérience en SIG et analyse spatiale, solides compétences en gestion et analyse de données. 
  • Excellentes capacités de communication écrite et orale, esprit collaboratif. 
  • Initiative dans l’apprentissage de nouvelles méthodes écologiques et dans l’intégration des approches du bâti/ingénierie. 
  • Expérience de terrain avec la végétation urbaine et familiarité avec les outils de modélisation des microclimats urbains (ex. : iTree, Envi-MET) sont des atouts. 
  • Connaissances suffisantes en modélisation climatique et expérience démontrée (ou potentiel à être formé·e) à l’utilisation d’outils de modélisation du climat (ex. : WRF, GEM). 
  • La capacité à communiquer en français est un avantage, mais n’est pas requise.

  • Poste de doctorat entièrement financé avec une bourse garantie de 35 000 $/an pendant quatre ans, ainsi qu’un soutien pour les conférences, le travail de terrain et les projets collaboratifs. 
  • Occasion de contribuer à des stratégies d’adaptation climatique concrètes via le programme Volt-Age de Concordia, pour faire progresser la résilience urbaine et l’équité dans les villes canadiennes. 
  • Expérience pratique en écologie urbaine de terrain, collecte de données microclimatiques, analyse spatiale et développement de bases de données sur les SfN. 
  • Collaboration dans une équipe interdisciplinaire incluant écologistes, ingénieurs, urbanistes et experts en politiques publiques, traitant des enjeux de chaleur urbaine et de justice environnementale. 
  • Accès à des outils de recherche avancés : plateformes SIG, capteurs environnementaux, logiciels de modélisation microclimatique urbaine (ex. : iTree, Envi-MET). 
  • Encadrement structuré et développement professionnel, avec opportunités de publication dans les meilleures revues d’écologie et de durabilité urbaine, et de présentation dans des conférences de premier plan. 
  • Un environnement de recherche dynamique sur le campus Loyola de l’Université Concordia à Montréal, au sein d’une communauté vibrante dédiée à la durabilité, à la biodiversité et à l’innovation urbaine. 

Merci d’envoyer les documents suivants dans un seul fichier PDF : 

  • Lettre de motivation exprimant votre intérêt pour ce poste 
  • CV académique 
  • Relevés de notes 
  • Noms et coordonnées de 2 personnes référentes
  • Un échantillon d’écriture
  • Publications, le cas échéant 
  • Tout autre document pouvant renforcer votre dossier 

Les candidatures doivent être soumises en formats PDF lisibles à l’écran. 

Si vous êtes déjà au Canada, ou si vous êtes citoyen·ne canadien·ne ou résident·e permanent·e, merci de le mentionner dans vos communications.

1er septembre 2025.

Questions

Pour toute question, veuillez contacter Alisa Makusheva à : alisa.makusheva@concordia.ca

Communiquez avec l’équipe de Volt-Age

volt-age@concordia.ca

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