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Donner du pouvoir aux étudiants en maîtrise et en doctorat grâce à un don de 500 000 dollars

Le soutien continu de James Stanford à la Campagne pour Concordia afin de faire progresser la recherche en ingénierie
25 octobre 2022
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Par Daniel Bartlett, B.A. 2008


Portrait d'un homme assis devant un foyer « Ce fonds de dotation permet aux étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs de se concentrer sur leurs études sans devoir se préoccuper de financement », affirme James Stanford, B. Sc. 1958, LL. D. 2000.

Lorsque James Stanford, B. Sc. 1958, LL. D. 2000, a versé un don de 500 000 $ destiné au fonds de dotation de bourses d’études supérieures James-M.-Stanford, il l’a fait pour deux raisons.

D’abord, il soutient l’Université indéfectiblement depuis de nombreuses années. Son dévouement exceptionnel a fait avancer les travaux de l’Institut montréalais d’études sur le génocide et les droits de la personne de Concordia, a contribué à la rénovation du réfectoire de Loyola et permet de distribuer des bourses d’études et de subsistance aux étudiants et étudiantes dans le besoin.

Ensuite, il désire aider les étudiantes et étudiants à la maîtrise et au doctorat à poursuivre leurs travaux de recherche sans stress financier supplémentaire.

« Les étudiants aux cycles supérieurs ont besoin de soutien, car en général, ils travaillent à leur projet de recherche toute l’année, indique-t-il. Ce fonds de dotation leur permet de se concentrer sur leurs études sans devoir se préoccuper de financement. »

Le don vient en aide aux étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs de l’École de génie et d’informatique Gina-Cody. M. Stanford précise qu’il s’intéresse tout naturellement aux étudiants en génie, car il est lui-même titulaire d’un diplôme de premier cycle en exploitation minière du Loyola College – un des deux établissements fondateurs de Concordia – et d’un autre en génie pétrolier de l’Université de l’Alberta.

Coup d’œil sur le passé et perspectives d’avenir

À propos de ses études à Loyola, M. Stanford se rappelle avoir constaté à quel point la formation qu’il y recevait était complète.

« Par exemple, il serait difficile de trouver au Canada une faculté des sciences offrant un cours d’épistémologie, se souvient-il. Les programmes d’études de Loyola étaient très vastes et nous donnaient une idée plus précise du monde des arts. »

La structure progressive des programmes de Loyola a bien servi M. Stanford au cours de sa carrière. Comme haut dirigeant dans l’industrie canadienne du pétrole, il a puisé dans son expérience aussi loin que l’époque où il travaillait dans les champs pétrolifères de l’Ouest du pays pour payer ses études.

En sa qualité de diplômé, il a défendu certains des plus grands projets de Concordia, n’hésitant jamais à reconnaître le talent des autres afin que l’Université se distingue dans le milieu de l’enseignement supérieur au pays.

M. Stanford éprouve aussi un grand respect pour la Sir George Williams University, l’autre établissement fondateur de Concordia. Son admiration provient de l’attention que cette université accordait aux étudiantes et étudiants moins susceptibles de poursuivre leur formation dans d’autres établissements.

« Elle s’est beaucoup concentrée sur les personnes d’un certain âge qui travaillaient tout en étudiant à temps partiel, le soir pour la plupart, explique-t-il. Elle a aussi accueilli des gens de l’étranger qui avaient de la difficulté à être admis dans d’autres universités, car il leur fallait travailler à temps plein pour payer leurs études. »

Pour lui, cette souplesse et cette ouverture d’esprit demeurent pertinentes aujourd’hui. Il souligne que les étudiantes et étudiants doivent acquérir ces compétences durant leur formation afin de pouvoir les mettre en pratique une fois leur carrière amorcée.

Il les encourage également à agir pour le bien de la collectivité et des gens qui les entourent.

« Dans certains pans de notre société, l’accès à l’enseignement supérieur n’est pas facile, constate-t-il. Les étudiantes et étudiants doivent prendre conscience de cette réalité et continuer de s’impliquer. Les membres de la communauté de Concordia ont toujours été bien représentés dans la collectivité, et leur participation doit se poursuivre. »



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