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Profil d’étudiant(e)

Reuel Goins

Étudiant au baccalauréat ès arts
Majeure en communication
Mineure en anthropologie

Ce n’est pas la créativité qui manque au sein du programme de communication, où Reuel Goins explore les perspectives offertes par la musique.

« J’ai vraiment apprécié que mon programme comporte des projets ouverts plutôt qu’un objectif précis. En tant qu’étudiant, il faut du temps pour développer une expertise particulière; des orientations générales pour les projets nous permettent donc de développer et d’affiner nos compétences. »

Comment avez-vous atterri à Concordia?

Je suis originaire de Pennsylvanie, mais ce sont avant tout les droits de scolarité excessivement élevés aux États-Unis qui m’ont amené à venir étudier au Canada. Ma mère s’est renseignée sur Concordia, et a remarqué que l’établissement se classait de plus en plus haut au palmarès des universités. J’ai beaucoup aimé le campus et Montréal. Tout le monde était très gentil, amical et disposé à transmettre de précieux renseignements. Concordia m’a semblé être un endroit où les étudiants pouvaient être autonomes. Je me voyais bien commencer une nouvelle vie à Montréal, et c’est ce que j’ai fait.

Comment s’est passée l’adaptation à Montréal?

Au début, ça a été assez difficile. J’avais fréquenté une toute petite école secondaire – nous n’étions que 10 à obtenir notre diplôme l’année où j’ai terminé mes études. Je n’avais pas l’habitude de côtoyer de nouvelles personnes. C’est lorsque je me suis inscrit en Communication que j’ai vraiment commencé à apprécier la ville.

Qu’est-ce qui vous plaît dans votre programme actuel?

Le programme de communication offre beaucoup de possibilités aux personnes créatives. Vous pouvez vous orienter vers la musique, le cinéma ou le graphisme. La communauté des communications est très soudée et amicale, avec un esprit de collaboration. Les gens sont prêts à travailler ensemble et à s’entraider. J’aime le campus Loyola parce qu’il est un peu plus tranquille et plus traditionnel. J’ai noué de véritables liens avec mes professeurs, qui sont tous très accessibles.

Le programme de communication m’a permis d’explorer mes passions. Je n’ai pas pu entrer dans un programme universitaire de musique parce que je ne savais pas lire la musique, mais je n’en étais pas moins fasciné et intéressé par ce domaine. Lorsque j’ai commencé mon programme, je n’étais pas tout à fait sûr de ce que je voulais faire avec la musique, parce que j’aime aussi le cinéma, les images, jouer avec des caméras et écrire. J’ai fait un peu de tout, et j’en conclus que – surtout pour quelqu’un qui souffre de TDAH – la communication est le programme idéal, parce qu’on peut se modeler de différentes façons.

Comment êtes-vous parvenu à intégrer la musique à vos études à Concordia?

Je ne suis pas un musicien au sens traditionnel du terme, mais je fais de la musique sur mon ordinateur. J’aime manipuler les sons et voir où peuvent mener certaines textures. Ce n’est qu’à l’âge de 20 ans que j’ai commencé à m’investir plus sérieusement dans la musique, et c’est à ce moment-là que j’ai commencé mon programme. Le programme de communication a certainement contribué pour beaucoup à mes connaissances, car mon évolution s’est accélérée suivant mon inscription. Initialement, je ne savais même pas ce qu’étaient les gammes ni comment mixer, et j’en suis éventuellement venu à réaliser des projets sonores complets. Je pense que ce qui a été le plus bénéfique, c’est d’être entouré de personnes possédant des connaissances dans le domaine. En communication, vous choisissez un domaine : intermédia, images en mouvement ou son. J’ai choisi la filière sonore, et je ne crois pas que j’aurais pu sérieusement envisager une carrière dans ce domaine sans mon programme.

Travaillez-vous actuellement sur des projets passionnants?

En ce moment, je travaille avec une section du Laboratoire d’innovation de Concordia. Dans le cadre de notre projet, mon équipe et moi concevons une application qui intègre la musique, le bien-être et l’IA. Auparavant, j’avais travaillé avec le laboratoire d’innovation sur un projet dans le cadre duquel nous essayions de trouver un moyen de familiariser les étudiants avec le langage inclusif. Mon équipe et moi avions créé un zine pour aborder des sujets liés au fait d’être noir sur le campus, à l’identité de genre, à l’immigration, à la toxicomanie et à l’apprentissage de l’anglais en tant que deuxième langue.

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