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Un professeur de journalisme de Concordia siégera à un nouveau panel du Conseil des académies canadiennes

Un professeur de journalisme de Concordia siégera à un nouveau panel du Conseil des académies canadiennes
8 juillet 2022
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Homme d'âge moyen souriant avec de courts cheveux blonds-gris, avec une barbe, portant des lunettes et une chemise et une cravate noires.
« C’est un honneur de faire partie de ce panel et de pouvoir ainsi continuer d’explorer les façons d’améliorer la communication scientifique sur les biotechnologies émergentes à Concordia », affirme David Secko.

Comment peut-on appliquer la technologie d’édition génique à la lutte antiparasitaire?

David Secko, professeur de journalisme à la Faculté des arts et des sciences, se joint à un nouveau panel d’experts chargé d’approfondir la question.

Constitué par le Conseil des académies canadiennes (CAC), un organisme sans but lucratif, ce groupe de spécialistes multidisciplinaires aura pour tâche d’examiner le sujet sous différents angles, de la bioéthique à l’agriculture en passant par la communication du risque.

Un choix naturel

« C’est un honneur de faire partie du panel sur le recours aux organismes modifiés par édition génique dans la lutte antiparasitaire, de pouvoir examiner plus à fond cette importante question et ainsi continuer d’explorer les façons d’améliorer la communication scientifique sur les biotechnologies émergentes à l’Université Concordia », affirme David Secko.

Subventionné par l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire de Santé Canada, le panel s’intéressera en particulier aux défis d’ordre scientifique, éthique et réglementaire que peut poser l’édition génique appliquée à la lutte antiparasitaire.

« Il est primordial de comprendre les enjeux et les résultats potentiels de ces technologies en contexte de lutte antiparasitaire afin d’enrichir le débat et la discussion sur leur utilisation », indique Eric Meslin, président et chef de la direction du CAC. « Je ne peux imaginer un meilleur groupe d’experts pour s’attaquer à cette question. »

L’avenir du journalisme scientifique

Pour David Secko, cette participation est un prolongement naturel de son travail au Département de journalisme de Concordia, dont il a été le directeur de 2016 à 2022.

Biologiste moléculaire de formation, le Pr Secko est fasciné par l’exploration de l’avenir du journalisme et la lutte contre la mésinformation à l’ère du numérique.

« Notre département est un chef de file dans l’étude du journalisme scientifique au Canada », souligne-t-il. Nous avons d’ailleurs inauguré récemment un pôle de journalisme scientifique et une mineure en journalisme scientifique. »

« Ces deux initiatives s’inscrivent dans nos efforts pour soutenir les étudiants, les enseignants et les journalistes appelés à se pencher de manière plus approfondie sur les avancées rapides en science et en technologie. Dans cette optique, nous souhaitons par ailleurs encourager et améliorer la participation du grand public au débat. »

David Secko a en outre fondé Projected Futures, une école d’été offerte par le département de journalisme. Couronné de succès et désormais dans sa cinquième année, ce programme a été conçu en collaboration avec la Fédération mondiale des journalistes scientifiques et les rédacteurs et communicateurs scientifiques du Canada.

Une perspective à l’image de Concordia

Le Pr Secko se réjouit à l’idée de siéger au panel du CAC et de représenter l’Université Concordia.

« Je suis ravi de pouvoir apporter cette importante perspective dans la réflexion qu’engagera le groupe à l’égard des différents enjeux scientifiques, bioéthiques et réglementaires propres à ce domaine. »

 

Apprenez-en plus sur le Département de journalisme de l’Université Concordia.



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