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Profil de diplômé(e)

Bianca Morello

Baccalauréat en commerce
Majeure en marketing

« Concordia m’a inculqué le sens de l’éthique professionnelle et les compétences organisationnelles nécessaires à l’étude du droit. »

Le programme de mentorat du juriste en résidence a placé Bianca Morello sur la voie de la réussite

Tant à Concordia que dans sa vie personnelle, Bianca Morello (B. Comm. 2020) a bénéficié de l’aide de mentors pour tracer son chemin dans le domaine du droit.

Alors qu’elle fréquentait l’École de gestion John-Molson de l’Université Concordia, Bianca Morello a vécu un événement personnel qui a éveillé son intérêt pour l’univers juridique. Curieuse d’en apprendre davantage, elle a satisfait sa soif de connaissance grâce au programme de mentorat établi par le juriste en résidence de l’Université, Morton Minc (B.A. 1967). Ce programme permet à des étudiantes et étudiants de côtoyer certains des plus grands esprits du droit canadien.

Étudiant maintenant le droit à l’Université d’Ottawa, Bianca Morello continue d’alimenter sa passion.

Qu’est-ce qui a suscité votre intérêt pour le droit?

Lorsque j’ai commencé mes études universitaires, je ne savais pas vraiment dans quelle discipline me spécialiser. J’ai finalement opté pour la majeure en marketing, programme dont les cours m’intéressaient beaucoup. Mais j’étais encore hésitante quant à mon choix.

Un jour, mes parents ont décidé de divorcer, et ma vie s’en est trouvée changée. Une étudiante travaillant pour le cabinet juridique dont ma mère avait retenu les services m’a initiée au droit. Elle est devenue à la fois une mentore et une amie. Elle m’a beaucoup appris sur la pratique du droit, plus précisément dans le domaine du droit animalier.

Décrivez-nous votre expérience dans le cadre du programme de mentorat du juriste en résidence de Concordia?

Après avoir effectué quelques stages en droit animalier et en droit familial, j’ai voulu élargir mes horizons. J’étais en dernière année du baccalauréat en commerce quand j’ai entendu parler de ce programme de mentorat.

J’ai participé à l’activité principale du programme : on vous met en dyade avec une avocate ou un avocat qui a les mêmes affinités en matière de droit. Mark J. Paci, un avocat-criminaliste ayant défendu des causes célèbres, a plus particulièrement retenu mon attention. Même si nos centres d’intérêt divergeaient quelque peu, je savais que je voulais l’avoir pour mentor.

Vous rappelez-vous de moments forts liés à votre participation au programme?

Avec deux autres étudiants, j’ai rencontré Me Paci à son cabinet. Il nous a emmenés assister aux procédures judiciaires de la cour municipale de la Ville de Montréal et de la Cour d’appel du Québec.

Assurément, cette expérience a été bénéfique sur le plan de l’apprentissage. En outre, elle m’a confrontée à la réalité. Ainsi, j’ai compris qu’en droit, toute décision peut avoir de graves répercussions sur la vie des gens. Il importe donc de s’en souvenir si on emprunte ce parcours professionnel.

Quelle incidence a eu votre cursus à Concordia sur vos études actuelles?

Le cursus et les activités que j’ai effectués à Concordia m’ont inculqué le sens de l’éthique professionnelle et les compétences organisationnelles nécessaires à l’étude du droit. Même si l’Université n’offre pas de programme de droit, j’y ai cependant profité de nombreuses occasions d’ordre professionnel. Ainsi, outre le programme de mentorat, il y a notamment la Concordia Moot Law Society. Tout ça s’est révélé grandement utile. 

Quel conseil donneriez-vous à une étudiante ou à un étudiant actuel ou potentiel?

Je lui dirais de foncer. Tout ce que l’on fait a de l’importance et en vaut la peine en fin de compte. Il faut saisir toutes les occasions qui se présentent, rencontrer le plus de gens possible et participer à quantité d’activités. Le secret, c’est de surmonter ses peurs et de sortir de sa zone de confort.

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