AHAC / JCAH
Une revue d'histoire de l'art canadien et de théorie
Fondé en 1974, Annales d'histoire de l'art canadien/Journal of Canadian Art History est la seule publication révisée par les pairs consacrée entièrement à l'histoire et à la théorie des arts visuels au Canada. Les contributions sont publiées en anglais ou en français ; les articles et essais sont accompagnés de résumés traduits.
Vol. 45:1 et 2 (2024) À venir
Vol. 44:1 et 2 (2023) À venir

Vol. 43:1 et 2 (2022)
L’oeuvre de l’artiste, cinéaste et militante Joyce Wieland a été étudiée et célébrée, avec raison. Ses expériences, sa philosophie et son savoir sont, à ce titre, étroitement imbriqués dans sa pratique artistique. Dans ce numéro, la vie de Joyce Wieland se prolonge au-delà de la mort, non seulement sous la forme d’objets littéraires, mais aussi par le truchement d’oeuvres d’art – des fragments, des événements – qui, consciemment, reprennent le fil d’une vie interrompue et établissent un dialogue avec son héritage.

Vol. 42:1 et 2 (2021) À paraître début 2025
Savoir plus sur ce numéro
Vol. 41:1 et 2 (2020)
L’oeuvre de l’artiste, cinéaste et militante Joyce Wieland a été étudiée et célébrée, avec raison. Ses expériences, sa philosophie et son savoir sont, à ce titre, étroitement imbriqués dans sa pratique artistique. Dans ce numéro, la vie de Joyce Wieland se prolonge au-delà de la mort, non seulement sous la forme d’objets littéraires, mais aussi par le truchement d’oeuvres d’art – des fragments, des événements – qui, consciemment, reprennent le fil d’une vie interrompue et établissent un dialogue avec son héritage.

Volume 40:2 (2019)
Ce numéro thématique de la revue trouve ses racines dans un projet de recherche en équipe entrepris à l’Université Concordia par deux membres du Département d’histoire de l’art, Kristina Huneault et Anne Whitelaw. En 2013, celles-ci ont organisé un atelier sur l’histoire de l’art étudiée sous l’angle du colonialisme de peuplement, en collaboration avec Damian Skinner, un collègue néo-zélandais. L’histoire de l’art étudiée sous l’angle du colonialisme de peuplement – sa théorie, sa méthodologie et ses protocoles – semblait être une solution de rechange prometteuse aux histoires nationales qui avaient prévalu jusque-là, car elle apportait un complément aux histoires de l’art autochtone formulées à l’époque.