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Profil d'étudiant(e)

Gianni Gallaccio

Gianni Gallaccio
Ville natale

Laval

C’était génial de voir un groupe de jeunes adultes aussi passionnés à l’idée de faire progresser le domaine canadien de l’aérospatiale.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de prendre part au projet Starsailor?

L’aérospatiale m’a toujours intéressé. J’ai obtenu un DEC en technologie du génie électrique au Collège Dawson et j’ai travaillé dans le secteur de la défense aérospatiale pendant environ deux ans. Durant cette période, je me suis rendu compte que j’étais plus attiré vers le côté gestion des choses, en particulier les opérations.

C’est à ce moment-là que j’ai décidé de retourner étudier et que je me suis inscrit au certificat en fondements de la gestion à John-Molson. J’avais entendu parler du Club spatial de Concordia par des amis et lors de diverses journées portes ouvertes. J’ai pris contact avec les membres du club, et ils m’ont accepté dans l’équipe de développement des affaires. J’ai travaillé à la recherche de commanditaires, puis je suis passé à la sensibilisation et suis devenu responsable de ce secteur.

Pour le récent lancement de la fusée, j’ai davantage assumé un rôle de gestion des opérations. J’étais chargé de veiller à ce que l’emplacement choisi pour le lancement dispose d’un approvisionnement efficace en électricité et en eau ainsi que d’installations sanitaires et de gestion des déchets adéquates. J’ai eu l’occasion d’apprendre à connaître toutes les personnes participantes et de constater à quel point le projet leur tenait à cœur. C’était génial de voir un groupe de jeunes adultes aussi passionnés à l’idée de faire progresser le domaine canadien de l’aérospatiale.  

Gianni Gallaccio remplit les barils de carburant à l'arrière d'un camion dans une station-service à Mistissini, au Québec. Gianni Gallaccio remplit les barils de carburant à l'arrière d'un camion dans une station-service à Mistissini, au Québec. Photo par Gianni Gallaccio

Quel a été l’aspect le plus satisfaisant de cette expérience?

Pour moi, l’aspect le plus satisfaisant de l’expérience a sans aucun doute été de voir la fusée décoller de la rampe de lancement. J’ai également beaucoup apprécié d’avoir eu la possibilité de nouer des liens d’amitié dans toute l’Université. Le groupe est généralement très accueillant, mais quand on vise quelque chose d’aussi grandiose que le lancement d’une fusée, il y a de nombreux facteurs qui entrent en jeu pour faire du projet une réussite. Nous avons beaucoup de respect les uns pour les autres, car nous savons tous que nous faisons de notre mieux pour atteindre un objectif commun.

Tout cela, en plus des longues heures de travail, signifie que l’on passe beaucoup de temps avec les gens et que l’on en vient à très bien les connaître. Comme la fuséologie est un domaine très interdisciplinaire, on apprend vraiment à tisser des liens et à favoriser la cohésion du groupe.  

Gianni Gallaccio prépare un test de débit cryogénique de la fusée en remplissant un baril de méthanol et d'eau. Gianni Gallaccio prépare un test de débit cryogénique de la fusée en remplissant un baril de méthanol et d'eau. Photo par Gianni Gallaccio.

De quelle façon votre expérience à Starsailor a-t-elle contribué à orienter vos études et vos projets d’avenir?

À l’origine, j’avais l’intention de rester dans le domaine de l’électronique et des communications, mais mon expérience à Starsailor et mes rencontres avec des professionnels de l’industrie et d’autres intervenants du secteur de l’aérospatiale ont contribué à renforcer ma passion pour l’aérospatiale et l’aviation.

Cette expérience m’a incité à m’orienter vers ces deux secteurs. J’aimerais être un jour directeur des opérations d’une importante entreprise d’aérospatiale. 

Gianni Gallaccio parle avec un diplômé lors d'un événement organisé par le Club spatial de Concordia Gianni Gallaccio parle avec un diplômé lors d'un événement organisé par le Club spatial de Concordia
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