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Profil de diplômé(e)

Liana Di lorio

Baccalauréat ès arts
Majeure en littérature anglaise; mineure en italien
Baccalauréat en commerce
Majeure en gestion de la chaîne logistique

« J’ai appris à nouer des relations et à parler avec autorité et confiance »

Grâce à sa participation aux concours d’études de cas de John-Molson, Liana a pu perfectionner ses compétences et ainsi décrocher un emploi dès sa sortie de l’Université.

Après votre premier diplôme en arts, vous avez eu envie d’étudier le commerce. Qu’est-ce qui vous a attirée vers la chaîne d’approvisionnement?

J’avais le sentiment que ce domaine me permettrait de progresser. Lorsque j’ai décidé de retourner à l’université pour un second diplôme, j’ai participé aux Portes ouvertes de Concordia, et des représentants du programme m’ont expliqué que la chaîne d’approvisionnement est nécessaire partout, quel que soit le type d’entreprise.

Il y a donc des occasions d’emploi partout. Comme j’avais déjà plusieurs années d’expérience dans le commerce de détail chez H&M, je me suis dit que je pourrais travailler dans le secteur de la chaîne d’approvisionnement pour la vente au détail, ou n’importe où ailleurs. Je savais que j’aurais plusieurs options.

J’ai beaucoup aimé Concordia pour sa souplesse. J’ai connu assez d’étudiants à temps partiel pour savoir que je pourrais travailler tout en allant à l’université.

À qui s’adresse le programme?

Il s’adresse aux personnes qui s’intéressent à tous les aspects des biens de consommation, de leur production à leur arrivée sur votre table ou dans vos mains.

Le programme incorpore aussi les notions de statistique des entreprises et de modèles de comportement; il nous apprend à nous demander « Est-ce important? » En fait, c’est comme de l’exploitation de données : on examine un gros ensemble de données, on en extrait une tendance, et on la traduit en quelque chose d’exploitable.

Liana Di lorio

En quoi le programme peut-il surprendre?

Une grande part du travail est très amusante – on a l’impression de faire un casse-tête. Il faut pouvoir connecter les aspects créatifs et analytiques du commerce. Les gens pensent qu’il s’agit principalement de taper des chiffres dans une calculatrice, alors qu’il faut vraiment savoir résoudre des problèmes de manière créative.

Parlant de résolution créative de problèmes, vous avez aussi participé à des concours d’études de cas. Comment a été votre expérience?

Les concours d’études de cas m’ont vraiment aidée à comprendre le fonctionnement pratique d’une entreprise et les problèmes communs qu’elle rencontre. Comme la concentration de mon équipe était l’éthique des affaires, nous nous sommes principalement penchés sur la responsabilité sociale de l’entreprise. Cette expérience est précieuse, car j’aurai sûrement à aborder ce sujet durant ma carrière.

Y a-t-il des compétences acquises durant vos études qui vous servent dans votre travail?

Sans aucun doute mes compétences en présentation – issues de mon expérience tant à l’École de gestion John-Molson qu’au Collège d’études humanistes et au Département d’études anglaises. J’ai appris à nouer des relations et à parler avec autorité et confiance. Lorsque j’ai une idée en tête, je peux livrer un message de façon assez éloquente et convaincante. C’est d’ailleurs ce qui m’a permis d’obtenir un nouveau poste chez David’s Tea – mon premier emploi après mes études – presque immédiatement après avoir présenté un exposé.

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