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Profil d’étudiant(e)

Gabriel Safi

Inscrit à la maîtrise en administration des affaires (MBA)
Gestion de placements

Qu’est-ce qui vous a amené aux études supérieures?

Je me suis toujours intéressé aux sciences à l’école. J’ai étudié les sciences de la santé au collège Marianopolis, puis le génie mécanique à l’Université Concordia. Bien que je sois ingénieur mécanique, je nourris une passion pour la finance depuis des années. Quand je n’étais pas aux études ou au travail, toutes mes lectures et mes discussions tournaient autour de la finance.

Après une conversation avec un proche de ma famille qui m’a encouragé à réfléchir à ce que je voudrais faire dans dix ou vingt ans, j’ai décidé de m’inscrire au MBA en gestion de placements. Au départ, j’hésitais à renoncer à la stabilité de ma carrière pour retourner aux études. Mais, tout compte fait, je ne voulais pas regretter plus tard de ne pas l’avoir fait, alors j’ai plongé.

Quel est l’aspect le plus enrichissant de votre programme?

Les gens – sans aucune hésitation. À l’origine, c’est ma passion pour la finance qui m’a amené à m’inscrire à l’École de gestion John-Molson. Mais l’aspect le plus enrichissant de ce programme est vite devenu l’occasion d’échanger avec le personnel, le corps professoral et les autres membres de ma cohorte. Être entouré de personnes animées des mêmes idées que soi, c’est une expérience extraordinaire.

Mes camarades de classe sont devenus de bons amis. Les professeurs sont très accommodants et toujours prêts à vous aider. Tout cela contribue à créer un environnement où l’on peut exceller.

Comment trouvez-vous un équilibre entre travail à temps plein et MBA?

Le défi peut être énorme, mais je trouve qu’il en vaut le coût. Pour ma part, je dois beaucoup voyager pour le travail et sauter sans cesse d’un fuseau horaire à l’autre. Or, les professeurs sont très compréhensifs et accommodants en ce qui concerne les examens. J’avais d’ailleurs soulevé cet enjeu en entrevue. On ne m’a jamais peint un tableau idyllique ni dit que tout serait facile, mais j’ai senti de la souplesse et une volonté de favoriser la réussite.

Avez-vous un conseil à donner aux personnes qui songent à faire des études supérieures à Concordia?

Parlez à des étudiantes et étudiants des cycles supérieurs inscrits au programme qui vous intéressent. Ainsi, vous vous ferez une bonne idée du programme et saurez s’il vous convient.

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