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Cecilia McKinnon

Portrait de l'artiste

À propos de l’artiste

Cecilia McKinnon est une artiste interdisciplinaire et éducatrice qui vit et travaille à Lenapehoking / Philadelphie, en Pennsylvanie. Le travail de McKinnon explore l'entropie, les paysages précaires et les histoires « naturelles » à travers la sculpture, la vidéo, le textile et l'écriture créative.

McKinnon a exposé au Center for Contemporary Art (Santa Fe), à Vox Populi, Tiger Strikes Asteroid et Cherry Street Pier (Philadelphie), à l'Amos Eno Gallery (New York) et au RIPA Festival et à la FoFA Gallery (Montréal). Elle est membre du Biomaterials Working Group, un collectif de recherche et d'expérimentation sur les matériaux durables basé à Philadelphie. McKinnon a enseigné à l'université Concordia, à l'université du Delaware et au Moore College of Art and Design ; elle a animé des ateliers dans le cadre de Teaching at the End of Times (Vox Populi), Club Plastique (Verticale) et University City Arts League. Elle est titulaire d'un master en fibres et pratiques matérielles de l'université Concordia et d'une licence en beaux-arts de l'université du Nouveau-Mexique.

Pour en savoir plus sur Cecilia

Cecilia McKinnon, Fish Spines

À propos du projet

Durant sa résidence, Cecilia McKinnon a répondu à la richesse du paysage et à l’histoire géologique de Charlevoix par des installations improvisées, des vidéos et des écrits.
Comme matériaux de départ, elle a apporté une série de petites sculptures moulées à partir de coquilles d'œufs, de teintures textiles usées et d'autres résidus issus de la vie quotidienne et du travail en atelier. Sa pratique explore l'intersection entre le labeur humain et le paysage. Pendant la résidence, elle a expérimenté la mise en scène de sculptures sous forme d’installations pour l’image fixe et en mouvement.

Les vasières de la plage sont devenues un site d’intervention récurrent, offrant des indices visuels sur le remodelage de la terre par les forces naturelles et les mouvements des êtres vivants.
McKinnon a également commencé à développer une nouvelle œuvre vidéo inspirée du passé géologique de la région — plus précisément, de son identité en tant que onzième plus grand cratère au monde. Après avoir appris les événements ayant façonné le territoire il y a 400 millions d’années, elle a entamé un travail d’écriture et de captation d’images pour un projet qui relie le cratère de Charlevoix aux histoires minières de la région. L’œuvre s’intéresse aux vides creusés dans la terre et réfléchit aux thèmes de la destruction et de la régénération.

Reconnaissant pour le généreux soutien

Cette initiative bénéficie du généreux soutien du fonds d’innovation de la fiducie familiale Peter-N.-Thomson.

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© Université Concordia