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Projets spéciaux

Si la plupart des recherches menées par nos membres s'inscrivent dans les différents thèmes de nos deux axes de recherche, certains projets spéciaux s'étendent à d'autres thèmes dans le but d'obtenir des connaissances et des résultats multidisciplinaires et interdisciplinaires.

Les ateliers « Unveiling Equity »

Il s'agit d'un projet d'un an (se terminant à la fin du mois de mars 2024), soutenu par le programme d'appui communautaire, de multiculturalisme et d'initiatives antiracistes de Patrimoine canadien qui vise à :

  • Soutenir les communautés dans la lutte contre le racisme et la discrimination, favoriser la compréhension interculturelle et interconfessionnelle, et offrir des possibilités équitables pour participer pleinement à la société canadienne.
  • Promouvoir et engager des discussions sur le multiculturalisme, la diversité, le racisme et la discrimination religieuse, tant au niveau national qu'international.
  • Renforcer la recherche et les données probantes existantes afin de mieux comprendre les disparités et les défis auxquels sont confrontées les communautés racialisées et religieuses minoritaires, ainsi que les peuples autochtones.

Dans ce contexte, une série d'ateliers en ligne sera organisée pour aborder certains aspects du racisme.

Ateliers

Poster for Tacking Structural Racism workshop

1: Tackling structural racism

Intervenants : Nykkie Lugosi-Schimpf et Vivek Venkatesh, facilitation Kathryn Urbaniak ; Paul Gareau et Vivek Venkatesh, facilitation Rawda Harb ; Celina Yellowbird.

Dans cet atelier, nous analyserons l'impact du racisme structurel dans la société canadienne. Avec des experts et des membres des populations autochtones et immigrées, nous partagerons des stratégies pour sensibiliser le public et construire des espaces de dialogue pour contrer les différentes formes de racisme structurel. Nous discuterons également de recommandations pour lutter contre ces formes structurelles de racisme à l'intention des décideurs politiques dans les domaines de l'éducation, de la santé mentale, des services sociaux, de la sécurité publique et d'autres domaines, sur la base d'expériences pratiques menées par les membres de notre équipe.

Poster for Decentering the margins: Routes for liberation

2: Decentering the margins: Routes for liberation

« Decentering the margins: Routes for liberation » propose un changement méthodologique et idéologique. Au lieu de maintenir une perspective centrale, l'accent est mis sur la reconnaissance et l'amplification des voix et des expériences de ceux qui sont en marge, en réfléchissant de manière critique sur le mouvement de la marge vers le centre qui peut potentiellement reproduire des éléments de pouvoir, c'est-à-dire de nouveaux centres et de nouvelles matrices de pouvoir. L'objectif est d'identifier et de mettre en œuvre des voies ou des stratégies efficaces et durables qui conduisent à la libération des groupes marginalisés de l'oppression systémique, en favorisant une société plus inclusive et plus équitable. Cette approche encourage une compréhension plus large des diverses expériences et remet en question le statu quo en œuvrant activement en faveur de la justice sociale et de l'égalité.

Intervenantes

Leena Abdelrahim termine son doctorat en philosophie à l'université de Toronto. Ses recherches se concentrent sur la différence que la situation sociale fait à la connaissance, en particulier en explorant les questions de la connaissance qui surgit dans des contextes de marginalisation, et pourquoi cette connaissance résiste à être partagée dans d'autres contextes sociaux. Leena a également de l'expérience dans la recherche sur la diversité sur le marché du travail, ayant rédigé des guides sur les pratiques d'embauche inclusives, et publié des rapports sur le statut de l'IED dans la main-d'œuvre technologique américaine, dans le cadre de son rôle précédent de gestionnaire de contenu, à la startup Divercity, basée aux États-Unis.

Marlihan Lopez est une organisatrice communautaire féministe noire qui s'attaque aux problèmes liés à l'anti-noirceur, à la violence fondée sur le genre et à ses intersections. Elle a coordonné la division EDI (équité, diversité, inclusion) pour la Coalition québécoise des centres antiviolence, où elle a fait du travail de plaidoyer et de sensibilisation sur la façon dont le genre, la race, la classe et la capacité se croisent dans le contexte de la violence sexuelle. Elle a également participé à des mouvements tels que Black Lives Matter sur des questions telles que le profilage racial et la brutalité policière. Elle a été co-vice-présidente de la Fédération des femmes du Québec de 2017 à 2022 et est actuellement coordinatrice de l'engagement communautaire et de la sensibilisation à l'Institut Simone de Beauvoir. Elle est également membre cofondatrice de la Coalition pour le définancement du SPVM et cofondatrice de Harambec-Reviving the Black Feminist Collective.

Modératrice:

Dalia Elsayed est candidate au doctorat en éducation et chercheuse publique à l'Université Concordia. Ses recherches portent sur la race, la théorie critique, la théorie féministe noire et l'épistémologie féministe. Elle cherche à comprendre la le concept de noirceur dans une perspective globale, en se concentrant particulièrement sur les expériences de l'Afrique noire dans la diaspora. Ce faisant, Dalia s'intéresse à la compréhension des différents récits et cadres qui contribuent à la formation et à l'articulation de l'identité noire à l'échelle mondiale. Dalia est actuellement spécialiste de l'évaluation au Centre d'études sur l'apprentissage et la performance (CEAP) de Concordia.

 

Photos of presenters for the Allyship workshop

3: Allyship: From tokensim to activism

  • le 18 mars, 2024 à l'Espace 4 de Concordia
    • 12:00 - 14:45 (atelier anglais - s'inscrire), Catherine Richardson, Kimura Byol Nathalie Lemoine, Lisa Ndejuru, animée par Zeina Ismail-Allouche et Safia Boufalaas
    • 15:15 - 18:00 (Atelier français - s'inscrire), Catherine Richardson, Amandine Gay, Samantha Lopez Uri, animée par Zeina Ismail-Allouche et Safia Boufalaas

Les ateliers d'allié (un en anglais et un en français) ont été proposés comme un moyen de compléter/remettre en question l'approche qui se concentre sur le profilage racial. Ces ateliers visent à créer un espace invitant et sûr pour le partage et l'apprentissage, permettant aux participants de déballer leurs privilèges et d'améliorer leur capacité à agir en tant qu'alliés éthiques. Les ateliers seront animés par Zeina Ismail Allouche et Safia Boufalaas.

Photo of Zeina Ismail-Allouche & Safia Boufalaas

Zeina Ismail Allouche est titulaire d’un doctorat en sciences sociales et en arts et possède plus de 25 ans d’expérience dans le domaine de la protection de l’enfance, de la violence fondée sur le genre et du traffic d’enfants pour l’adoption transraciale/internationale illégale. Elle a occupé des postes de direction au sein de nombreuses organisations internationales. Zeina a contribué à des initiatives internationales visant à promouvoir le renforcement des familles afin d’éviter les séparations forcées et a dirigé des initiatives intégrées de réforme du secteur de la protection de l’enfance dans de nombreux pays. Elle a collaboré avec l’université de Georgetown pour concevoir un programme de formation de spécialistes de la protection de l’enfance axé sur la gestion interdisciplinaire et intégrale des cas. Elle a élaboré une politique de protection de l’enfance pour les médias (UNICEF Liban).

Conteuse et performeuse d’histoire orale et auto-ethnographique, Zeina s’ancre dans les méthodologies autochtones et les pratiques de recherche décolonisées. Elle a contribué à diverses publications sur la protection de l’enfance, en particulier sur la violence sexiste, l’adoption transraciale/internationale et les droits des enfants privés de prise en charge parentale.

Safia Boufalaas est une professionnelle de recherche ainsi qu’une étudiante au doctorat. Elle s’intéresse aux questions de violences et de transgressions dans le contexte des groupes criminels avec un focus sur le concept de l’identité. Avec un positionnement décriminalisant elle essaie d’explorer à travers le documentaire les questions de contexte socioéconomique, les questions de genre et d’identité pour comprendre comment certaines personnes décident de prendre cette voie. Avant de faire de la recherche, elle a fait de l’intervention/animation sociale et communautaire en France dans plusieurs structures, notamment dans une association abolitionniste dont le but est d’accompagner les personnes survivantes de la traite des êtres humains, dans des écoles secondaires et dans un foyer de jeunes filles dit à risque. Son titre au CEAP est celui de mobilisatrice communautaire, elle utilise son expérience en intervention sociale et son savoir-faire de chercheuse pour s’intéresser aux relations et aux tensions entre les practicien-ne-s, les théoricien-ne-s et les institutions sous le prisme de l’éthique et dans une lignée anti-extractiviste avec les communautés (racisées et/ou marginalisées.).

Public visé

Les ateliers sont conçus pour être accessibles au grand public, en particulier aux communautés locales désireuses d'en savoir plus sur les différentes facettes du racisme et sur la manière dont il affecte la société et la culture :

  • Les alliés potentiels qui cherchent à comprendre la notion d'allié.
  • Les alliés existants désireux de réévaluer leurs approches.
  • Les groupes engagés dans le profilage racial, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de Concordia.

Les participant.e.s bénéficieront d'une expérience mixte, leur permettant de s'engager dans le contenu de l'atelier en tant qu'individus et en tant que groupe, et non pas uniquement en tant que membre d'une structure.

Conférencieres

Catherine Richardson/Kineweskwêw, Ph.D. est métisse avec des ancêtres cris, gwichin et anglais. Elle est directrice des études sur les premiers peuples à l'Université Concordia à Tiohtià:ke/Montréal.  Cathy est psychothérapeute métisse en pratique privée et cofondatrice du Centre for Response-Based Practice.  Catherine assure la supervision clinique des travailleurs des services humains qui viennent en aide aux peuples autochtones.   Elle est titulaire d'une chaire sur les connaissances en matière de guérison autochtone à l'Université Concordia.  Ses livres les plus récents s'intitulent "Facing the Mountain : Indigenous Healing in the Shadow of Colonialism Speaking the Wisdom of Our Time" et "Structural Violence Against Youth in Canada :  Speaking Out and Pushing Back".  Catherine s'intéresse à la promotion de la guérison, du rétablissement et du bien-être dans un esprit de dignité et de justice sociale.

Amandine Gay est cinéaste-productrice (Speak Up -2017 ; A Story of One's Own -2021), écrivaine-chercheuse (A Chocolate Doll -2021) et militante afroféministe. Afin de se réapproprier la narration comme un acte d'émancipation, elle revient à Montréal en 2022 et crée une société de production de films appartenant à des Noirs : Caïssa Productions.

kimura byol-nathalie lemoine ( 키무라 별 - 나타리 르뫈 - 木村 ビヨル - ナタリー レムワンー) est une artiste multimédia et une conservatrice féministe d'origine coréenne-japonaise qui questionne les perceptions des identités - diaspora, l'ethnicité, le colorisme, le post-colonialisme, l'immigration et le genre - principalement à travers l'art multimédia de la calligraphie, de la peinture, de l'écriture et de la pratique collaborative.

Samantha Lopez Uri (elle) est une consultante en matière de lutte contre le racisme qui a eu l'occasion de diriger et de former des jeunes travailleurs sociaux dans divers contextes au cours des dernières années. Dans le cadre de sa maîtrise en innovation sociale à l'Université St-Paul, elle mène actuellement une recherche sur les perspectives des personnes racialisées sur les questions de racisme et de discrimination systémique dans la communauté québécoise. Ces engagements l'ont amenée à agir comme animatrice, coordonnatrice, assistante de recherche et conseillère sur diverses questions liées à la jeunesse, à la diversité et à l'inclusion. Née à Tiohtiá:ke (Montréal), d'origine quechua bolivienne, elle croit fermement que la guérison collective est la clé de la (ré)appropriation de nos espaces et de nos histoires.

Lisa Ndejuru est une chercheuse indépendante, une psychothérapeute et une consultante en santé mentale qui se spécialise dans l'aide aux survivants de la violence pour trouver des voies accessibles et non médicalisées vers la guérison et le changement par le biais du conte, du jeu et du théâtre d'improvisation. Ses recherches portent sur la création de sens individuelle et collective, les soins et l'autonomisation dans les communautés touchées par la violence anti-noire, la transmission intergénérationnelle des traumatismes au sein des communautés noires ainsi que les afrotopies (imaginaires du futur). Elle a été boursière publique de Concordia en 2017, boursière John F. Lemieux en études sur le génocide en 2018 et boursière postdoctorale du Provost en 2020 à l'Université de Toronto. En 2023, elle a reçu le prix Ella Amir de l'AMI Québec (Action on Mental Illness) pour les innovations en santé mentale, et a été reconnue par la CBC (Canadian Broadcasting Corporation) comme un Black Changemaker. Fondateur de l'organisation de guérison Omora, Ndejuru a reçu un financement du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada pour une initiative de trois ans sur la santé mentale communautaire intitulée "Centering Community Knowledges : Fostering Black Wellness In Montreal (CCK).

<dis>representation: an experiment and workshop adressing pluralism in  the arts

4: <dis> représentation : une expérience et un atelier sur le pluralisme dans les art

Rejoignez la chercheuse-créatrice Kathleen Vaughan, le conservateur et éducateur Daniel Fiset, les artistes socialement engagés Florencia Sosa Rey, José Cortés et Veronica Mockler, ainsi que la codirectrice de Galerie Galerie, Sophie Latouche, dans leur exploration du manque de fiabilité de la représentation.

< dis > est un webinaire public en ligne qui se penche sur la complexité de la représentation plurielle de l'art socialement engagé en ligne. L'atelier adopte un format de discussion circulaire, présentant des pratiques clés, à savoir celles d'artistes travaillant dans le domaine social, de conservateurs ayant une expertise pédagogique et de chercheurs-créateurs et chercheuses-créatrices universitaires. Ensemble, ces praticiens se sont lancés dans une exploration critique des défis posés par la représentation publique en ligne d'une pratique artistique sociale donnée, qu'il s'agisse d'une œuvre d'art elle-même ou de la documentation qui l'accompagne. La méthodologie de base est expérimentale et s'articule autour d'un processus délibérément risqué : une série de posts programmés à l'avance sont partagés en ligne sur le compte Instagram de Galerie Galerie.

Vous pouvez consulter l'expérience en cours ici : https://www.instagram.com/galerie.galerie/

En collaboration avec : Galerie GalerieMAI - Montréal Arts Interculturels et le Centre d'étude de l'apprentissage et de la performance.

Ce webinaire fait partie de la série Dévoiler l'équité, organisée à l'Université Concordia par le Centre for the Study of Leaning and Performance, grâce au soutien de Patrimoine canadien.

Balado sur la pédagogie sociale innovante

Le Projet Someone a lancé une nouvelle série de balados dans le cadre de son projet de pédagogie sociale innovante, qui vise à démêler les subtilités de la construction communautaire, des méthodologies éducatives et du pouvoir de transformation de l'art.

Dans chaque épisode, les participant.e.s s'embarqueront pour un voyage à travers les thèmes qui définissent le projet, allant de la planification collaborative et de l'engagement communautaire à la création d'ateliers pratiques et au domaine dynamique de la pédagogie de l'art.

Les balados seront animés par la spécialiste de l'évaluation du projet ISP, Dalia Elsayed, l'une des boursières publiques de Concordia pour 2023/24.

Résultats

Lancement d'un balado sur la pédagogie sociale innovante (PSI) le 15 décembre

Le premier balado sur la pédagogie sociale innovante avec Veronica Mockler est maintenant disponible

 

 

On s'écoute

On s'écoute est une campagne de sensibilisation et de prévention des violences sexuelles dans les établissements d'enseignement supérieur du Québec. Sous la direction de Léa Clermont-Dion, le projet vise à développer une stratégie de communication efficace pour atteindre des publics clés (y compris les étudiants, le personnel académique, les partenaires institutionnels, les médias locaux, les personnalités publiques et les décideurs politiques). Le projet mobilisera la communauté étudiante ainsi que les membres du personnel sur les questions de violence sexuelle dans l'enseignement supérieur à travers le Québec afin de promouvoir une culture de respect et de prévention.

Résultats

L'événement de lancement de la campagne On s'écoute aura lieu le 19 mars 2024 à l'Espace 4 de Concordia (1400 boul. Maisonneuve W, Montréal). L'objectif principal est de présenter la campagne et de la faire connaître, de partager les avancées récentes et de mobiliser le soutien en faveur de la prévention des violences sexuelles dans l'enseignement supérieur. Les participants attendus sont nos partenaires institutionnels, des associations étudiantes, des personnalités publiques influentes, des politiciens, et les détails logistiques de l'événement seront précisés ultérieurement.

Le projet déploiera 4 capsules vidéo traitant de thèmes spécifiques liés aux violences sexuelles avec des témoignages et perspectives de chercheurs, ainsi qu'un microsite offrant des formations, des ressources et des outils, ainsi qu'une présence sur les réseaux sociaux.

Prix de l'innovation pédagogique

Les Prix de l'innovation pédagogique et le symposium visent à reconnaître et à récompenser les enseignant·e·s qui mettent en œuvre des pratiques créatives dans leur classe en leur offrant un prix et l'occasion de promouvoir leur innovation et d'en discuter avec des pairs et des chercheur·euse·s. Tout enseignant·e (à temps plein ou à temps partiel) d'une école primaire ou secondaire publique ou privée reconnue par le gouvernement du Québec peut poser sa candidature à ces prix (deux prix de 1 000 $ chacun) qui visent trois objectifs :

  • Reconnaître les pratiques pédagogiques novatrices.
  • Réunir des enseignant·e·s et des chercheur·euse·s en éducation pour discuter des liens entre leurs innovations et les résultats de recherches récentes.
  • Faire connaître ces pratiques innovantes à d'autres enseignant·e·s et chercheur·euse·s.

Innovation technologique

Les innovations de ce type peuvent inclure de nouvelles utilisations de programmes informatiques, d'applications pour téléphones portables, de jeux vidéo ou d'autres types d'outils numériques permettant d'impliquer les élèves.

Innovation curriculaire

Ces innovations peuvent inclure de nouvelles situations d'apprentissage et d'évaluation (SAE) conçues par les enseignant·e·s, de nouvelles approches d'un sujet particulièrement difficile ou des activités d'apprentissage par l'expérience que les élèves réalisent en dehors de la salle de classe.

Résultats

La première édition des Prix de l'innovation pédagogique a eu lieu le 4 mai 2023 - découvrez les lauréats et lisez notre couverture de l'événement.

La prochaine édition des prix aura lieu le 8 mai 2024.

Ateliers « EmpowerGrad »

Dans le cadre de la programmation continue offerte par le CEAP, une nouvelle série d'ateliers a été lancée à l'automne 2023 et se poursuivra en 2024. La série d'ateliers EmpowerGrad est organisée par des étudiant.e.s diplômé.e.s pour des étudiant.e.s diplômé.e.s, abordant des sujets d'intérêt pour leur communauté.

Résultats

Le premier atelier, « Quebec's Education System for Non-Local Students », a été présenté par Robin Long et Lazaros Kalipolidis le 3 octobre 2023.

Le deuxième atelier, « Women in the Field of Education », présenté par Amélie Crasci et Neslihan Sriram-Uzundal le 20 novembre, visait à offrir une discussion stimulante sur les enjeux auxquels font face les femmes qui travaillent dans le domaine de l'éducation.

Le troisième atelier de la série, « Demystifying the Field of Education in Quebec », sera offert par Sophie Hart et aura lieu le 29 janvier 2024. L'accent sera mis sur des sujets clés pour les éducateur.rice.s aspirant à travailler dans la province, tels que les exigences professionnelles, les opportunités de développement professionnel, les stratégies de recherche d'emploi, etc.

Le dernier atelier de la série inaugurale EmpowerGrad, « Meeting the Neighbours », est organisé par Rhonda Chung et aura lieu le 25 mars 2024. Il s'agit d'une occasion semi-structurée pour les étudiant.e.s des programmes de maîtrise et de doctorat du département de l'éducation d'apprendre à se connaître et d'établir des liens significatifs.

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