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Karim Zaghib a présenté à l’Université Stanford les objectifs du Canada en matière de réduction des émissions

Une discussion de haut niveau met en évidence la volonté internationale de trouver des solutions énergétiques durables
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Par Volt-Age


Un groupe de scientifiques pose devant un mur jaune portant les mots "SLAC National Accelerator Laboratory Stanford" et, en dessous, les mots "SLAC-Stanford Battery Center". Karim Zaghib (troisième à partir de la gauche) pose avec l'équipe du SLAC-Stanford Battery Center, dont Jagjit Nanda (premier à gauche), directeur exécutif du laboratoire.

Karim Zaghib, chef de la direction du programme de recherche Volt-Age de Concordia, a occupé le devant de la scène la semaine dernière à l’Université Stanford et au SLAC National Accelerator Laboratory alors qu’il présentait le rôle directeur du programme dans les efforts de décarbonation et d’électrification du Canada.

Lors de la réunion du 26 février, M. Zaghib a expliqué à un groupe de prestigieux universitaires, de décideurs politiques et de chercheurs en début de carrière comment Volt-Age compte concrétiser la vision du Canada visant à réduire les émissions de 40 à 50 % d’ici 2030, conformément à l’ambitieux objectif que s’est fixé le pays d’atteindre la carboneutralité d’ici 2050.

« Pour se donner un avenir durable, la collaboration mondiale n’est pas un simple choix, mais bien un impératif », a déclaré Karim Zaghib à la suite de la rencontre. « Alors que nous nous efforçons d’atteindre d’ambitieux objectifs en matière de réduction des émissions et de favoriser l’avènement d’un monde carboneutre, il est essentiel que les nations et les chercheurs unissent leurs forces. »

Parmi les personnalités présentes figuraient Steven Chu, distingué lauréat du prix Nobel de physique en 1997 et ancien secrétaire à l’énergie au sein de l’administration Obama, Jennifer Granholm, actuelle secrétaire à l’énergie des États-Unis et Jagjit Nanda, directeur général du SLAC-Stanford Battery Center.

La discussion a porté sur des sujets névralgiques comme l’électrification de la société, les batteries rechargeables au lithium et la capture de dioxyde de carbone, mettant en évidence l’intersection dynamique entre le monde universitaire et l’industrie. 

À l’issue de la discussion, M. Zaghib a insisté sur l’importance des partenariats interdisciplinaires et de l’échange de connaissances pour repousser les frontières scientifiques. 

« Après cet événement bien reçu aux États-Unis, nous espérons accueillir bientôt à Concordia des chercheuses et chercheurs de Stanford et d’autres universités de premier plan dans le monde, afin de bénéficier de leur vaste expérience et de leurs connaissances étendues dans le domaine des énergies renouvelables et de l’industrie des batteries », fait valoir Karim Zaghib.

« Les efforts internationaux visant à déployer des sources d’énergie renouvelables et respectueuses de l’environnement ne connaissent pas de frontières, et nous ne pourrons atteindre notre objectif d’un avenir plus vert que par la collaboration entre les scientifiques de toutes les régions du monde. »

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