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L’Institut des villes nouvelle génération de Concordia accueille sept nouveaux organismes partenaires

Les membres collaboreront avec l’Institut sur divers projets, comme le développement d’infrastructures intelligentes et durables et la conception de solutions urbaines carboneutres
4 avril 2022
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Image of a city from a distance with a river in the foreground.

L’Institut des villes nouvelle génération de Concordia continue de cheminer vers la création de villes intelligentes, résilientes et durables grâce à quatre nouveaux partenariats avec des intervenants majeurs.

Les nouveaux membres de l’Institut sont l’Autorité régionale de transport métropolitain, l’organisme communautaire Conseil régional de l’environnement de Montréal, la société de développement commercial Montréal centre-ville, l’entreprise de technologies et d’infrastructures intelligences Siemens Canada, la plateforme nationale pour la construction urbaine au Canada Institut urbain Canada, l’entreprise de promotion immobilière certifiée B Corp Gestion immobilière Quo Vadis et l’organisme éducatif sans but lucratif CityStudio Vancouver.

L’Institut des villes nouvelle génération, lancé en 2020, tire parti des forces combinées de notre capacité de recherche sur les villes pour améliorer la collaboration, la communication, l’éducation et les discussions au sein de notre communauté.

Ces nouveaux partenaires dresseront le portrait de leurs principaux défis et besoins en innovation. Ils travailleront ensuite avec l’Institut et ses étudiants des cycles supérieurs pour résoudre des problèmes réels, comme développer des infrastructures intelligentes et durables, proposer des moyens novateurs d’animer le centre-ville tout en le rendant plus vert, trouver des solutions de mise à niveau carboneutres pour les édifices industriels patrimoniaux et analyser les données urbaines pour suivre le progrès des plans d’action sur le climat.

« Le travail de chacun des partenaires interagit avec celui des autres d’une manière systémique. Nous voulons impliquer les partenaires pour mettre sur pied des projets novateurs portant sur le développement urbain durable, la consommation et la production d’énergie, la gestion des déchets, les transports, etc. », explique Ursula Eicker, codirectrice fondatrice de l’Institut et titulaire de la chaire d’excellence en recherche du Canada sur les collectivités et les villes intelligentes, durables et résilientes.

Université nouvelle génération

Les villes et la durabilité font partie des domaines prioritaires de Concordia en tant qu’université nouvelle génération et constituent le fondement des partenariats de l’Institut. Selon le site Web de l’Institut des villes nouvelle génération, « grâce à leur forte densité, les villes peuvent représenter le mode de développement humain le plus durable; elles sont des centres d’innovation et de productivité ainsi que des moteurs essentiels du développement durable ».

Bien que ces nouveaux partenariats représentent des éléments cruciaux du système urbain, l’objectif est de continuer à tisser des liens avec des organisations d’une grande variété de secteurs pour permettre de tracer la voie d’un avenir durable.

« De nombreux intervenants prennent part aux projets de développement urbain durable, quelle que soit leur taille, et parfois leurs besoins entrent en conflit les uns avec les autres. Cependant, puisqu’ils sont tous interdépendants, il existe une abondance de solutions possibles, nous devons donc amener tous les intervenants à étudier les problèmes de manière intégrée », indique Carmela Cucuzzella, codirectrice fondatrice de l’Institut des villes nouvelle génération, professeure de design et d’arts numériques, et titulaire de la chaire de recherche de niveau 2 de Concordia en conception intégrée, écologie et durabilité du milieu bâti.

« C’est le début d’un processus collaboratif où les solutions aux défis des partenaires peuvent être codéterminées et nous espérons motiver davantage de partenaires à se joindre à nous. »

L’Institut comprend 200 chercheuses et chercheurs de diverses facultés de Concordia, qui travaillent sous trois grappes de recherche : Milieux bâtis et naturels; Mobilité, sécurité et partage; et Design, art, culture et communauté.

Bon nombre de ces chercheurs participeront aux discussions de projet avec les nouveaux partenaires, dont les frais d’adhésion permettront à l’Institut d’embaucher et de former davantage d’étudiants aux cycles supérieurs pour les aider dans leur travail.

Mme Eicker, qui est également professeure de génie du bâtiment, civil et environnemental à l’École de génie et d’informatique Gina-Cody, ajoute que l’accès à des visualisations de données combinées à des simulations permettra de renforcer la recherche et la prise de décisions fondées sur des données probantes de même qu’à améliorer les solutions qui peuvent être mises en place.

S’ouvrir à la métropole, s’ouvrir au monde

S’ouvrir à la métropole, s’ouvrir au monde est l’un des neuf vecteurs stratégiques de Concordia; il porte sur l’atteinte d’un « impact public par la recherche et l’apprentissage ».

Paula Wood-Adams, vice-rectrice intérimaire à la recherche et aux études supérieures, affirme que relever les plus grands défis de la société est souvent au premier plan de la recherche transdisciplinaire menée chaque jour dans les facultés.

« Concordia est fière d’être un établissement nouvelle génération qui attire non seulement les meilleurs chercheurs, étudiants et employés, mais aussi des partenariats novateurs avec des intervenants du secteur privé et de la communauté », déclare-t-elle.

« En fin de compte, ces partenariats et les travaux à venir qui en découleront profiteront à la société tout entière. »


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