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Dix doctorants à l’avant-garde de l’évolution technosociale

Le 1er mai marque les débuts de la quatrième cohorte de chercheuses et chercheurs engagés de Concordia
1 mai 2020
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La cohorte de chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021 regorge de talents spécialisés dans les technologies émergentes et leur impact sur la société. (De gauche à droite) Rachel Thomas, Hamid Ebrahimi Orimi, Sylvie Ouellette, Isabelle Guillard, Bettina Forget, Ehsan Yazdanpanah Moghadam, Erica Pimentel, Anne-Marie Turcotte, Keroles Riad et Marc-André Argentino. | Photo : © Concordia, par Lisa Graves
La cohorte de chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021 regorge de talents spécialisés dans les technologies émergentes et leur impact sur la société. (De gauche à droite) Rachel Thomas, Hamid Ebrahimi Orimi, Sylvie Ouellette, Isabelle Guillard, Bettina Forget, Ehsan Yazdanpanah Moghadam, Erica Pimentel, Anne-Marie Turcotte, Keroles Riad et Marc-André Argentino. | Photo : © Concordia, par Lisa Graves

C’est confirmé! Dix doctorantes et doctorants de toutes les facultés de l’Université Concordia feront partie de la cohorte de 2020-2021 du Programme des chercheuses et chercheurs engagés. Chaque année, un groupe d’étudiants des cycles supérieurs parmi les plus brillants sont triés sur le volet en fonction de leurs résultats scolaires, de la diversité de leurs travaux de recherche et de leur engagement communautaire.

Lancé en 2017 par l’École des études supérieures en partenariat avec le journal Montreal Gazette, le programme procure à ces étudiants talentueux une formation et des outils qui les aideront à stimuler l’engagement dans la communauté élargie. Dans le cadre d’ateliers animés par des experts, les chercheurs engagés acquièrent des compétences clés dans des domaines tels que les relations avec les médias, les médias numériques et sociaux, les politiques publiques, l’art de la présentation et l’étiquette en vigueur dans le monde des affaires.

Outre son partenariat avec le quotidien Montreal Gazette, la communauté de Concordia collabore avec d’autres plateformes – notamment ESPACE 4, le Centre d’innovation District 3 et le bulletin de nouvelles NOW –, lesquelles offrent aux étudiantes et étudiants les moyens nécessaires pour susciter l’engagement du grand public.

« Nous sommes fiers d’appuyer le programme », affirme Kristy Clarke, directrice des programmes d’études et du développement, à l’École des études supérieures.

« Pouvoir aider de nouveaux chercheurs prometteurs à mieux sensibiliser la communauté tout en leur permettant d’acquérir de précieuses compétences de communicateurs – très prisées des employeurs – est bénéfique tant pour les participants que pour l’Université et la société. Nous avons hâte de voir comment évolueront ces étudiantes et étudiants au cours de la prochaine année. »

La cohorte des chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021 regorge de talents spécialisés dans les technologies émergentes et leur impact sur la société – un atout certain en cette époque où tout change rapidement. Le groupe arbore en outre la plus forte présence francophone à ce jour, ainsi qu’une grande diversité sur le plan tant ethnique que culturel.

Le Programme des chercheuses et chercheurs engagés réunit ces grands esprits pour qu’ils puissent mettre en commun leurs perspectives en recherche. Il permet en outre aux participants d’apprendre les uns des autres et d’enrichir leur bagage respectif, afin qu’ils puissent ensuite l’appliquer au développement de leur propre communauté.

À propos de la cohorte des chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021

Hamid Ebrahimi Orimi met au point une bio-imprimante qui pourrait un jour permettre d’imprimer des organes. Ehsan Yazdanpanah Moghadam explore des microdispositifs destinés à la lutte contre les maladies neurodégénératives. Tous deux sont inscrits au programme de génie mécanique, à l’École de génie et d’informatique Gina-Cody.

Anne-Marie Turcotte étudie la sociologie et l’anthropologie à la Faculté des arts et des sciences. Son travail porte sur la pertinence des fenêtres brisées au Nunavik. Elle est également codirectrice de l’initiative de balados scientifiques Best, Concordia.

Étudiante en chimie et en biochimie, Sylvie Ouellette s’intéresse à la façon dont les bactéries récupèrent le fer afin de trouver des solutions à la résistance aux antibiotiques. Elle a en outre publié plusieurs romans!

Le Département d’éducation artistique de la Faculté des beaux arts est très bien représenté au sein de la dernière cohorte du programme. Bettina Forget explore la manière dont l’art peut inspirer les jeunes femmes à faire carrière en STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques). Elle est par ailleurs chercheuse en résidence à l’Institut SETI.

Artiste établie, Isabelle Guillard travaille à intégrer l’art écologique dans le cursus des sciences de l’éducation.

Étudiante en administration des affaires à l’École de gestion John-Molson, Erica Pimentel cherche à savoir comment les professionnels trouvent un sens à leur travail et dans quelle mesure la technologie de la chaîne de blocs peut perturber la conduite des affaires.

Étudiante en lettres et sciences humaines, Rachel Thomas fonde sa recherche dans la sociologie médicale, l’histoire de la médecine et les beaux-arts. Elle utilise le discours propre au roman graphique pour explorer la façon dont la médecine et la société occidentales appréhendent le corps de la femme obèse.

Ayant choisi un parcours d’études individualisées, Keroles Riad s’intéresse au génie et à la chimie. Il travaille à mettre au point un matériau liquide plus robuste, destiné à l’impression 3D. Il dirige en outre l’initiative de compostage Waste Not, Want Not.

Marc-André Argentino est également inscrit au programme d’études individualisées. Sa recherche se situe à l’intersection des études théologiques, du génie et de l’informatique. Il explore la manière dont les groupes extrémistes manipulent les communautés virtuelles, particulièrement en périodes de bouleversement social, y compris les pandémies.

Activités et publications à venir

La cohorte de chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021 témoigne de l’attachement de Concordia à la diversité interdisciplinaire et à l’excellence universitaire dans l’analyse des grands enjeux de notre époque. Les membres de la cohorte participeront à diverses initiatives au sein de la communauté de Concordia durant la prochaine année. Ils diffuseront en outre les résultats de leurs travaux chaque semaine dans des blogues ainsi que dans des lettres d’opinion publiées dans le journal Montreal Gazette.


Apprenez-en davantage à propos de la
cohorte de chercheuses et chercheurs engagés de 2020-2021 de l’Université Concordia.

 

 



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