Miriam Roland
Pour son apport à la communauté
Originaire de Montréal, Miriam Roland a passé 32 ans aux États-Unis, où elle a étudié les relations internationales et la psychologie avant de revenir dans la métropole et d’y fonder un cabinet privé de psychothérapie.
Elle s’est inscrite à des cours à Concordia dès la première semaine de son retour, en 1978, et s’est profondément impliquée dans l’Université depuis. À titre de membre du conseil d’administration de 1992 à 2004, elle a siégé aux comités de direction, du soutien universitaire, des communications et de planification immobilière, contribuant à guider l’évolution de l’établissement durant une période de forte croissance.
Fidèle à l’attachement de sa famille pour la philanthropie, Mme Roland a établi à Concordia, au fil des ans, un certain nombre d’initiatives axées sur la collectivité. Celles-ci comprennent une série de conférences, des bourses de subsistance dans le cadre du programme de développement économique communautaire ainsi que des fonds de dotation visant à financer des projets spéciaux et à répondre aux besoins urgents des étudiants. Elle a joué un rôle moteur dans la décision de rendre obligatoire un cours d’éthique commerciale aux étudiants des cycles supérieurs de l’École de gestion John-Molson. En 2018, elle a établi un fonds perpétuel pour les étudiants des cycles supérieurs des quatre facultés de Concordia.
Outre son travail à Concordia, Miriam Roland a siégé aux conseils d’administration ou à divers comités de la Graduate Theological Union de Berkeley, des Centres de la jeunesse et de la famille Batshaw, de la Fondation communautaire juive de Montréal, du Wilstein Institute of Social Policy de Boston, du Taube Center for Jewish Studies de l’Université Stanford, de l’Université Ben Gourion du Néguev, de Portage et de Centraide du Grand Montréal.
Lundi 19 novembre, 10 h – Faculté des arts et des sciences.