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Diplômés

Aziz Choudry

« Au sein d’une université où la pensée critique sur l’organisation communautaire de même que les connaissances tirées des contributions théoriques et pratiques de divers intervenantes et intervenants peuvent être débattues, explorées et approfondies, le programme de DÉC offre un espace rare et précieux. »  Plus

Lex Gill

« Plongez! De plus, considérez la possibilité d’étudier dans une langue seconde, et ce, même si l’idée vous intimide au départ. Nouez des relations avec vos camarades d’études : une fois leur diplôme en poche, ces personnes accompliront des prodiges! »  Plus

Chantel Henderson

« Je recommande vivement le programme de DÉC. Quels que soient votre âge, vos antécédents, votre expérience ou votre scolarité, n’hésitez pas à adopter ce point de vue et à élargir ainsi votre vision du monde. »   Plus

Marc Nesbit

« Profitez de l’occasion pour expérimenter toutes sortes d’approches et plein de façons de faire. »  Plus

Vicky Pearson

« Au-delà des connaissances que vous acquerrez en DÉC, vous apprendrez énormément de vos compagnons et compagnes de classe. »  Plus

 

Aziz Choudry

Professeur agrégé au Département des études intégrées en sciences de l’éducation à l’Université McGill, Aziz Choudry occupe parallèlement la Chaire de recherche du Canada sur l’apprentissage et la production de connaissances au sein des mouvements sociaux. Il affirme que le diplôme de deuxième cycle en développement économique communautaire (DÉC) lui « a ouvert la voie des études supérieures ». En effet, sa « formation para-universitaire antérieure a été reconnue à sa juste valeur ». Avant d’étudier en DÉC, M. Choudry avait accumulé une vaste expérience « en organisation, en publication, en recherche et en enseignement militants ». Aujourd’hui, il espère que le programme de DÉC continuera « d’accueillir des personnes dont l’expertise et le savoir ne s’inscrivent pas toujours aussi bien dans le contexte universitaire que ceux, plus classiques, d’auteurs de travaux d’érudition ».

Quelles sont pour M. Choudry les forces vives du programme de DÉC? Ses participants et participantes et leurs « conversations animées ». D’ailleurs, il se réjouit d’avoir découvert l’hiver montréalais en leur compagnie lors d’une manifestation! 

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Lex Gill

Diplômée de la cohorte 2014, Lex Gill n’a que de bons mots pour le programme de deuxième cycle en développement économique communautaire (DÉC) de Concordia. Les liens qu’elle a noués et les expériences qu’elle a vécues lors de ses études « ont façonné [sa] pensée sur quantité de questions d’ordre professionnel et plus particulièrement sur la corrélation entre le droit et les changements sociaux ». Elle accorde d’autant plus d’importance à cet aspect qu’elle prépare actuellement un double diplôme en droit civil et en common law (« B.C.L./LL. B. ») à l’Université McGill.

Le programme de DÉC est offert alternativement en anglais et en français. Aussi, Mme Gill a profité d’une occasion inédite d’effectuer un cursus universitaire immersif en français, sa langue seconde. À ce propos, elle précise que cette « communauté aidante [lui] a permis non seulement d’acquérir et d’utiliser le vocabulaire technique indispensable, mais aussi d’établir des relations privilégiées avec des francophones œuvrant dans le domaine de l’économie sociale et solidaire ».

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Chantel Henderson

Chantel Henderson œuvre au sein de Missing Justice, un organisme « qui vise à sensibiliser la population canadienne à la question des femmes autochtones disparues ou assassinées au pays ». Pour mener à bien cette tâche essentielle, Mme Henderson applique les méthodes et les principes qu’elle a étudiés dans le cours Community Organizing (« organisation communautaire ») du programme de développement économique communautaire (DÉC). Ainsi, elle « peut assurer la participation inclusive des divers groupes en présence ». Entrepreneure sociale en devenir, elle compte lancer sa propre coopérative d’énergie renouvelable. À cette fin, elle entend bien mettre en pratique les connaissances qu’elle a acquises dans les cours Social Enterprise Development (« développement d’entreprises sociales ») et Financing CED (« financement du DÉC »).

Parmi les fruits de son expérience étudiante en DÉC, Mme Henderson attache une grande valeur à la diversité que présentaient ses camarades de classe. « Ces personnes se montraient tout aussi passionnées que moi, nous nous intéressions aux mêmes enjeux [...] et elles m’appuyaient dans mon travail auprès de la communauté montréalaise. » En outre, elle a fort apprécié l’engagement actif et l’implication profonde du corps professoral, que ce soit en matière d’action communautaire ou lors de campagnes de solidarité. Ces spécialistes de l’enseignement lui ont appris, dit-elle, « à avoir le courage de [ses] opinions ».

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Marc Nisbet

« Un dosage optimal entre théorie et pratique ainsi qu’une formule de groupes-classes restreints m’ont permis d’axer ma formation [en développement économique communautaire (DÉC)] sur la carrière que je souhaitais mener », précise Marc Nisbet, conseiller en crédit communautaire. Aujourd’hui, il analyse des programmes de prêt et accompagne petites entreprises et organismes à vocation sociale en phase de démarrage. Au sujet de son travail, il souligne qu’il y a intégré la « culture d’autoévaluation » valorisée à l’École des affaires publiques et communautaires. En effet, cette méthode a exercé une forte influence sur lui.

Diplômé en 2001 parmi la toute première cohorte de finissantes et de finissants en DÉC, M. Nisbet explique que son « réseau professionnel repose sur des relations nouées à l’époque de [son] cursus ». Selon lui, ceux et celles qui fréquentent le programme de DÉC « trouvent, au sein même de l’effectif étudiant, une foule de possibilités de se familiariser avec de nouvelles organisations, leurs pratiques et leur culture d’entreprise ».

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Vicky Pearson

Avez-vous déjà eu affaire à l’École des affaires publiques et communautaires pendant les heures de travail? Si oui, vous y avez fort probablement croisé Vicky Pearson. En effet, elle occupe les fonctions d’adjointe au directeur de l’école et d’adjointe au programme d’études de deuxième cycle en développement économique communautaire (DÉC). Diplômée – en 2003 – dans cette discipline, Mme Pearson parle de son cursus en termes enthousiastes : « le programme a dépassé toutes mes attentes » et « j’ai trouvé l’expérience formidable sur toute la ligne »!

Au premier rang des nombreux avantages que présente selon elle le cours de DÉC, Mme Pearson place ses camarades d’études. Ainsi, elle conserve un merveilleux souvenir d’un projet d’équipe sur la création d’une coopérative de crédit à l’intention de femmes de couleur.

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