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L’Université Concordia nomme sa nouvelle directrice générale des relations gouvernementales

Sylvie Bourassa est lauréate d’un prix d’excellence en administration publique
15 mai 2014
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Par James Roach


Sylvie Bourassa L’expertise de Sylvie Bourassa en relations gouvernementales constituera un atout pour l’Université Concordia.

Le recteur de l’Université Concordia, Alan Shepard, est heureux d’annoncer la nomination de Sylvie Bourassa au poste de directrice générale des relations gouvernementales. Son mandat de cinq ans débutera le 20 mai.

« Mme Bourassa sera chargée de consolider nos relations avec les deux ordres de gouvernement ainsi qu’avec l’administration municipale, déclare Alan Shepard. Il s’agit d’un rôle important qui soutiendra nos efforts pour faire de Concordia une université novatrice de premier ordre. La vaste expérience de l’administration publique de Mme Bourassa, de même que son travail plusieurs fois reconnu,  constitueront des atouts de premier plan dans l'exercice de ses nouvelles fonctions. »

Mme Bourassa était auparavant directrice de l’architecture d’affaires à Emploi-Québec, où elle a joué un rôle prépondérant dans la gestion de projets de transformation touchant plus de 143 bureaux, 17 régions administratives et 3 500 salariés.

« Je suis ravie de cette occasion. Ce sera pour moi un défi stimulant que de diriger les relations gouvernementales d’une des universités les plus novatrices et diversifiées du Canada, affirme Sylvie Bourassa. J’entends perpétuer et enrichir la tradition d'excellence de Concordia en matière de relations gouvernementales. »

Mme Bourassa a occupé des fonctions de conseillère stratégique de direction au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale ainsi qu’au Centre des services partagés du Québec. Elle a été directrice du cabinet de la ministre de la Concertation et de l’Emploi, et a occupé des postes de haut niveau en communication et en relations publiques au sein de petites, moyennes et grandes entreprises. 

Sylvie Bourassa a obtenu en 2002 le Prix Anne-Greenup pour son travail auprès de jeunes mères monoparentales à risque, en vue de les aider à poursuivre leurs études et à intégrer le marché du travail. Elle a également reçu en 2003 le Prix d’excellence de l’administration publique du Québec.
 



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