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Communiqué de presse

Di-Octo : captivant, cinétique et unique

Le chancelier, entrepreneur et philanthrope Jonathan Wener, B. Comm. 1971, et son épouse Susan Wener ont fait don d’une sculpture futuriste de huit mètres de haut à Concordia et à la ville de Montréal dans le cadre de son 375e anniversaire et du 150e anniversaire du Canada.

Montréal, le 28 september 2017 - L’impressionnante nouvelle sculpture Di-Octo, exposée à l’extérieur sur le coin sud-ouest du pavillon Henry-F.-Hall, est aussi unique que fascinante.

Cette œuvre cinétique attire l’attention de nombreux passants. C’est le chancelier de l’Université Concordia, Jonathan Wener, B. Comm. 1971, fondateur, président et chef de la direction de la firme immobilière montréalaise Canderel, et son épouse Susan, qui ont fait ce don à l’Université et à la ville de Montréal dans le cadre de son 375e anniversaire et du 150e anniversaire du Canada.

Di-Octo, œuvre créée par l’artiste américain Anthony Howe, a été dévoilée au coin de la rue Mackay et du boulevard De Maisonneuve O., le 28 septembre 2017.

« J’ai choisi le campus Sir-George-Williams de Concordia pour exposer Di-Octo parce que c’est ici que j’ai amorcé mes études et fait mes premiers pas en affaires et en promotion immobilière », explique M. Wener. « C’est aussi ici au pavillon Henry-F.-Hall, qu’en 1971 lors de la première journée d’orientation des nouveaux étudiants, j’ai rencontré Susan, ma chère épouse. »

La sculpture de huit mètres et de 725 kg représente une contribution importante à la collection d’art public de Concordia

Animés par le vent, les tentacules d’acier inoxydable se ferment et s’ouvrent sur eux-mêmes en un mouvement infini. M. Wener a choisi Di-Octo pour son caractère fascinant et dynamique. « C’est une œuvre quasi hypnotique », affirme-t-il.

Il suffit d’un vent de 2 km/h pour animer la sculpture, qui bouge dans un silence presque parfait. « Di-Octo est une œuvre magnifique et originale, poursuit M. Wener. On dirait qu’elle salue les étudiants, les professeurs, les membres du personnel, les diplômés et les visiteurs avec ses bras virevoltants et gracieux. Une belle façon de souhaiter la bienvenue à tous dans notre belle université! »

Le recteur de Concordia, Alan Shepard, est heureux de cette nouvelle acquisition originale. « Jonathan Wener a offert à notre université, à notre ville et à notre province une œuvre d’art futuriste et exceptionnelle, déclare-t-il. Di-Octo est une métaphore visuelle saisissante de notre vecteur qui consiste à s’ouvrir à la métropole. Ce chef-d’œuvre d’ingénierie permettra à la communauté de Concordia et aux Montréalais de contempler le rôle de l’art dans notre société. Et j’apprécie vraiment cette œuvre que je peux voir depuis mon bureau. C'est fascinant ! »

C’est France Chrétien Desmarais (LL. D. 2015), éminente avocate de Montréal, entrepreneuse et présidente de la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal, qui a contribué à persuader M. Wener de donner une œuvre d’art pour souligner le 375e anniversaire de la ville et le 150e anniversaire de la Confédération. M. Wener a choisi de l’exposer à l’Université Concordia : « J’adore mon alma mater. C’est ici que j’effectue mon travail avec le plus de passion et de bienveillance. J'ai toujours aimé l'art public, depuis mes premiers bâtiments en 1980. La coïncidence de ces événements semblait l’occasion tout indiquée pour marquer notre histoire par l’ajout d’une autre sculpture magnifique d'un artiste de renommée internationale. »

M. Wener a découvert Anthony Howe, qui a entre autres conçu le module de la flamme olympique des Jeux de Rio au Brésil, grâce à sa fille Katherine Wener. Katherine fut mandatée par la famille de trouver une sculpture qui serait vraiment inspirante. « Elle était aussi émue et enthousiaste que Susan et moi par le génie et la créativité d'Anthony Howe », explique Wener.

Les Wener ont visité Show-Canada, une aciérie de Laval, au Québec, au moment où on y installait Di-Octo dans un emplacement intérieur. Ils ont été subjugués quand la sculpture s’est mise à bouger devant un ventilateur industriel. « C’était fascinant! », lance M. Wener.

Le souhait de M. Wener est que Di-Octo gagne sa place à titre d’œuvre essentielle dans la collection de Concordia et à titre de monument montréalais emblématique.

Selon Bram Freedman, vice-recteur au développement et aux relations extérieures de l’Université Concordia, ce don démontre un esprit d’appartenance exemplaire. « Jonathan Wener donne régulièrement à son alma mater depuis des décennies, explique-t-il. En affichant sa fierté pour l’Université, Jonathan incarne notre neuvième vecteur stratégique. Ce don de notre chancelier deviendra à coup sûr une œuvre d’art emblématique pour l’Université, la ville et la province. »

Un enrichissement pour la collection d’art public

Clarence Epstein, directeur principal des affaires urbaines et culturelles à l’Université Concordia, déclare que Di-Octo s’inscrit dans une stratégie d’art public à grande échelle mise sur pied il y a 15 ans.

L’Université possède l’une des plus grandes collections d’art public pour une institution publique. Deux exemples incluent Lierre sur pierre de Geneviève Cadieux, ces vignes en métal anodisé qui grimpent sur la façade nord du pavillon de l’École de gestion John-Molson de Concordia, sur le boulevard De Maisonneuve, et Leap d’Adad Hannah, composé d’images géantes exposées sur les vitres du Centre PERFORM, au campus Loyola.

L’arrivée de Di-Octo réaffirme avec vigueur le rôle de l’art public à l’Université. « Ce don de Jonathan Wener aide Concordia à se positionner dans le domaine de l’art public, un secteur qui mérite qu’on s’y intéresse, souligne M. Epstein. C’est une façon pour notre Université de souligner l’importance de l’art dans son programme et son mandat institutionnel. »

À propos d’Anthony Howe

Né à Salt Lake City, en Utah, M. Howe a étudié à l’Université Cornell et à la Skowhegan School of Sculpture and Painting. Il vit actuellement à Orcas Island, dans l’État de Washington, avec son épouse et partenaire commerciale, Lynne. Il a vendu ses œuvres à des centaines de collectionneurs privés, de la Californie au Moyen-Orient.

Il conçoit et fabrique la plupart de ses sculptures sans assistance, à l’exception de certaines œuvres de grande envergure pour lesquelles il a récemment demandé l’aide de Walla Walla Foundry, Show Canada et Huttinger en Allemagne.

À propos de Show-Canada

L’entreprise québécoise compte 300 employés sur quatre continents. Elle se spécialise en conception, ingénierie et fabrication d’éléments architecturaux entièrement automatisés pour la scène et d’autres domaines spécialisés, pour des clients comme le Cirque du Soleil et les Jeux olympiques.

L’entreprise a des liens avec l’Université : Jean Labadie, président et chef de la direction de Show-Canada, a étudié à Concordia; Sol Lorenzo, vice-président de Show-Canada, a enseigné le cours Design of Steel Structures à la Faculté de génie et d’informatique, au printemps dernier; et Daniel Pharand, chef de la fabrication de Show-Canada, y a obtenu son baccalauréat en commerce en 1978.


Source

Fiona Downey
Fiona Downey
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