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Communiqué de presse

L’Université Concordia accueille Future Earth, un nouveau programme des Nations Unies portant sur la durabilité

Le projet comptera cinq plaques tournantes, dont Montréal

Montréal, le 8 juillet 2014Le Conseil international pour la science (CIUS) a annoncé que Montréal, ainsi que quatre autres villes, fera office de plaque tournante pour les besoins de Future Earth. Ce nouveau programme privilégie la recherche sur les enjeux environnementaux et le développement durable. Quant à l’Université Concordia, elle abritera le secrétariat local, où convergeront des chercheurs de plusieurs établissements universitaires québécois en vue de contribuer à cet important projet scientifique d’envergure internationale.

Future Earth concrétise un engagement pris en 2012 lors de la Conférence Rio+20 de l’Organisation des Nations Unies (ONU); celui-ci visait la création d’un réseau mondial favorisant l’avancée des études scientifiques sur diverses questions d’impact environnemental. Plusieurs conseils internationaux de recherche et divers organismes de l’ONU – notamment l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) – appuient le nouveau programme. Outre Montréal, quatre autres villes ont été choisies pour lui servir de plaque tournante : Tokyo, Paris, Stockholm et Boulder, au Colorado.

Une vingtaine de villes prétendaient au titre de plaque tournante. Le choix de la métropole québécoise représente l’apogée d’une collaboration fructueuse entre les représentants de Montréal International, du gouvernement du Québec et des établissements universitaires montréalais. La synergie qu’ont su créer ces partenaires jouera un rôle essentiel dans le fonctionnement à long terme du réseau. Le dossier de candidature de Montréal soulignait le bassin de chercheurs qui, dans les universités de la ville, s’intéressent à des disciplines variées et œuvrent déjà à une meilleure compréhension des enjeux en matière de durabilité.

« L’idée d’accueillir ce projet unique en son genre nous enthousiasme au plus haut point, a affirmé Alan Shepard, recteur et vice-chancelier de l’Université Concordia. Future Earth mettra en contact des milliers de chercheurs disséminés sur trois continents. Par ailleurs, ce choix reconnaît indubitablement le savoir-faire montréalais en recherche de même que le précieux apport de nos scientifiques à la formulation de nouvelles solutions aux défis mondiaux dans le domaine de l’environnement. »

Investi d’un mandat décennal, Future Earth  réalisera la jonction de trois programmes axés sur les changements environnementaux à l’échelle du globe : le programme international sur la géosphère et la biosphère; le programme international sur les dimensions humaines des changements planétaires; et Diversitas, le programme mondial de recherche sur la biodiversité. En étroite coopération avec le programme mondial de recherches sur le climat, Future Earth attirera de nouvelles communautés de chercheurs et d’intervenants.



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